Le ministre de la culture Rima Abdul-Malak n’en peut plus de la consanguinité sociale qui règne au sein des états-majors des établissements publics culturels :
« Nous avons clairement un problème de vivier. »
Un programme a été annoncé pour trouver 101 talents issus de la diversité, susceptibles de diriger un jour un théâtre, une philharmonie ou un musée. Du mentorat et des formations sont déjà prévus pour faire grimper ces recrues et les placer à ces postes si convoités qu’ils font souvent l’objet de procrastination du côté de l’Elysée.
La ministre a précisé qu’elle entendait par diversité
« la couleur de peau, l’origine sociale, géographique, des personnes qui ont grandi en milieu rural (…), des personnes en situation de handicap ».
Cro-Magnon
Je me demande si parmi les critères de sélection qui ont été appliqués pour sélectionner Madame le ministre Rima pour coller à l’incontournable “diversité” il n’y avait pas la laideur et sans doute également la bêtise. Nul doute que sur ces deux critères elle a dû avoir des notes ronflantes ! Je sais ce n’est pas très charitable…
Meltoisan
Idéologique et Lamentable ! Au lieu de laisser s’exprimer les vrais talents …
incongru
égalité républicaine, et méritocratie ???? c’est quoi, ça ?
Thibaud
L’AGRIF doit déposer plainte pour provocation à la haine raciale.
cadoudal
inutile de lui demander ce qu’elle pense de Jeanne d’ Arc qui disait haut et fort qu’elle voulait ” bouter les Anglais hors de toute France”;
la guerre que fait la Révolution nihiliste à la vraie France a pour cible l ‘ethnie, les frontières, les racines et l ‘identité .
Il faudrait que Macron recrute Netanyahou comme conseiller à l ‘identité nationale .
Collapsus
C’est ce qu’ils appellent depuis longtemps la discrimination positive. Une fois de plus, le Conseil Constitutionnel n’y verra rien de condamnable malgré la violation flagrante de l’article 6 de la Déclaration des Droits de l’Homme recommandant strictement l’embauche dans les emplois publics “sans autres distinctions que celles des vertus et des talents”. La couleur de peau est donc devenue une vertu ou un talent…
Violons allègrement l’égalité constitutionnelle et légale au prétexte fallacieux de l’inégalité naturelle.
Notons que la couleur de peau est citée en premier et que le handicap l’est en dernier. Nous pouvons deviner sans risque d’erreur qui sera privilégié dans la sélection.
Esteban
Il ne faut pas oublier non plus de recruter de préférence dans les maisons de santé ou dans les établissements psychiatriques, il y a des profils épatants !
philippe paternot
bref plus d’arabes aux commandes, même s’ils sont des brèles ( mot méprisant en arabe, mules en français, alors que les mules sont des animaux très prudents)