Le gouvernement hongrois a lancé une « consultation » populaire sur le thème « Ne dansons pas sur l’air qu’ils sifflent », dit l’affiche qui montre Ursula von der Leyen et Soros junior.
11 questions sont posées « sur la défense de notre souveraineté ». Les premières concernent des mesures de sauvegarde des revenus et du pouvoir d’achat des familles, qui sont menacées par Bruxelles. Une autre concerne les « ghettos de migrants » que « Bruxelles veut créer aussi en Hongrie ». Plusieurs questions concernent l’Ukraine : s’il faut y envoyer davantage d’armes et d’argent, et accepter le pays dans l’UE, et accepter ses céréales transgéniques. Les deux dernières questions sont plus liées à la figure de Soros : « Bruxelles veut abolir la loi de protection des enfants » (notamment contre la propagande LGBT), et « Ils veulent influencer la politique hongroise en utilisant de l’argent de Bruxelles et de l’étranger ».
ose
L’UE…RSS est à détruire et à vomir. A bas l’oligarchie mondialiste, moraliste, pédocriminelle et démoniaque. Retrouvons notre souveraineté et nos libertés ! Vive la France, notre patrie charnelle, vive la Hongrie !
Gaudete
Eh bien ce n’est pas notre saltimbanque aux pieds nickelés qui ferait ça bien au contraire il lèche tous ces voyous de la commission européenne, honte à lui et bravo à Orban. Je viens d’apprendre quelque chose, que ces pourris d’ukrainiens vendaient des céréales trans géniques et l’autre hyène veut faire rentrer l’Ukraine dans l’Europe. Quand est-ce qu’on va nous libérer de cette il n’y a pas de mot ^pour la qualifier
Sicéron
Les Hongrois savent ce qu’est l’oppression. Ils l’ont vécue dans leur chair, et ils ont payé très cher pour avoir tenté de se libérer de l’Union soviétique en octobre-novembre 1956 : bombardement par l’artillerie communiste puis déferlement de 1500 chars à Budapest; c’est encore tout frais dans ma mémoire.
Ils ont donc de bonnes raisons de vouloir s’émanciper de la nouvelle Union, fût-elle européenne, et fût-elle camouflée sous le logo de la Vierge, comme on nous faisait croire à l’époque.
Et surtout, ne donnons jamais une armée à la Grosse Kommission !