Le Grand Orient de France traverse une crise interne, car la gestion par l’actuel grand maître, Jean-Philippe Hubsch, a été mise en cause.
L’assemblée générale annuelle, qui prévoyait l’élection du nouveau grand maître, normalement prévue fin août 2020 à Montpellier, a failli être reportée d’une année en raison du confinement. L’élection a finalement été reportée que de quatre mois et se tiendra sur un mode numérique.
Jean-Philippe Hubsch, 58 ans, élu en 2018, à la tête d’un grand cabinet de courtage d’assurance à Metz, a confirmé qu’il quitterait sa fonction le 19 décembre.
On lui reproche le licenciement brutal d’un directeur général de l’obédience, qui rentrait tout juste d’un long congé maladie. L’affaire est jugée aux Prud’hommes.
D’autres lui reprochent d’être «à droite», puisqu’il fut un jeune RPR et admirateur de Philippe Séguin. Il lui est aussi reproché de trop soutenir la présidence d’Emmanuel Macron, comme le prouverait l’éviction du Grand Orient, l’an passé, de Jean-Luc Mélenchon.
D’autres dénoncent un «manque de transparence», ce qui fait doucement rigoler : la transparence n’est pas vraiment la marque de fabrique de la franc-maçonnerie.
Gaudete
quelle pantalonnade, ces gigolos veulent nous faire croire à la transparence, c’est vrai qu’avec des verres fumés cela permet de regarder le soleil sans abimer l’oeil, ça doit être avec des verres fumés qu’ils montrent leur transparence. Ils sont noirs comme l’enfer dont ils sont l’antichambre