Selon l'étude de l’équipe de chercheurs de Santé publique France, de l'Inserm et de l'équipe nationale d'intervention en prévention et santé pour les entreprises (ENIPSE), publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire, la situation de l'épidémie de VIH chez les jeunes hommes homosexuels français serait « extrêmement préoccupante ». L'homophobie insupportable de la science doit-elle être portée devant la justice ?
Extrait du commentaire de Dominique Morin, sous le post d'Yves Daoudal :
"le lobby homosexuel, surtout AIDES et ACT-UP la branche activiste, en mettant la main sur la "lutte contre le SIDA, ont interdit de distinguer les types de rapports particulièrement à risque de transmission, donc à proscrire car trop risqué, au prétexte de "ne pas discriminer." Résultat, la prévention a été imprécise et la propagande homosexuelle, en se victimisant comme victimes du SIDA comme une discrimination, ont fait de la "lutte contre le SIDA" une propagande active pour propager auprès des jeunes, parfois très jeunes, les moeurs homosexuels comme normatifs et interdire toute remise en cause de ces pratiques comme discriminatoire. Ils ont objectivement contribué à propager le SIDA, il suffit de regarder des images de la Gay Pride."
La ville de Paris est aussi responsable. Le 13 juin, Jean-Luc Romero–Michel remettait au Maire de Paris un rapport intitulé « Paris, ville phare de l’inclusion et de la diversité ». 52 recommandations y figurent pour faire de Paris la capitale mondiale des droits LGBT et du tourisme LGBT. La 10e édition des Gay Games se déroulera à Paris du 4 au 12 août 2018.