Christiane Decraene, spécialiste du lobbying des associations homosexuelles au sein de l’Éducation nationale, répond à Famille chrétienne, suite à l'agrément reçu par SOS Homophobie :
Quels sont les chiffres des agressions homophobes dans les établissements scolaires ?
Ils représentent une goutte d’eau, de l’ordre de zéro virgule des poussières pour cent, on parle d’une minorité. Les bagarres, les injures, cela n’arrive pas tous les jours dans les lycées. Il faut rappeler aussi qu’il existe déjà une véritable protection juridique dans ce genre de cas. […] Il n’y a pas forcément de volonté délibérée du ministère, mais des pressions très puissantes des lobbys homosexuels, relayées par les politiques. […] [Q]uand il y a des opérations de sensibilisation en milieu scolaire, on vient initier les jeunes pour qu’ils posent des questions. […]
Quels sont les principaux dangers de ces opérations en milieu scolaire ?
L’aide auprès des jeunes enlisés dans ces questions devrait être le travail d’un psychologue. Et se faire avec les parents. Dans le discours associatif, il y a confusion entre militantisme et sensibilisation, entre identité et comportement, entre la nature profonde du jeune et ses actes. On veut trop insister sur le caractère génétique de l’homosexualité, identifier l’ado à ce penchant qu’il aurait pu avoir passagèrement ou par curiosité. Au risque de jouer les apprentis sorciers.
Okapi T
très bien vu ! L’aspect génétique est en effet un levier du discours mais est totalement aberrant sur le plan du réel. La génétique devient l’argument de toute-puissance… Or, sur le plan scientifique, tout démontre que l’homosexualité et les gènes n’ont pas grand chose à voir. Et heureusement, sinon nous pourrions de même devoir admettre bien des déviances.
Le lobbying gay utilise une argumentation qui a des caractéristiques typiquement manipulatoires. Il est donc à combattre.