Ce gouvernement aggrave encore la culture de mort du pays. La pilule abortive dite "de troisième génération" a été admise au remboursement par l'assurance maladie, à un taux de 65%, a indiqué vendredi le ministère de la Santé, se félicitant d'"une réelle avancée" pour les femmes. Cette pilule est inscrite sur la liste des médicaments remboursables dans un arrêté publié aujourd'hui au Journal officiel. On remerciera Mme Bachelot des conséquences incalculables : outre le coût pour la sécurité sociale (c'est bien le moment), on note le meurtre de l'embryon, l'atteinte à la santé de la femme et la pollution de l'environnement…
Le ministère de la santé encourage la culture de mort
4 commentaires
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Jean Theis
Le seul argument qui compterait éventuellement est la pollution des eaux (en raison du non respect envers les poissons)
Denis Merlin
Noter le caractère stéréotypé de l’argumentation “pour les femmes” qui constitue une sorte de Vérité morale incontestable, énoncée comme si le gouvernement avait une mission d’enseignement.
Alors que l’on sait que la prise de pseudo-médicament a des conséquences néfastes sur la santé physique et mentale des femmes et un effet létal sur l’enfant à naître.
Quidam
un 11 septembre !
Kelkin
Après la lecture de la tribune de PO Hardouin, ça laisse rêveur; soit Mme Bachelot est complètement ignarde quant a la réalité de la contraception et de l’avortement en France, soit elle a vraiment une volonté de destruction.