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Pays : Italie

Le ministère de la Santé italien encore condamné suite aux conséquences du “vaccin” Covid

Le ministère de la Santé italien encore condamné suite aux conséquences du “vaccin” Covid

A Naples, le ministère de la Santé a été condamné à verser une indemnisation à un homme de 55 ans handicapé par le vaccin Pfizer.

Après la décision d’Asti accordant une indemnisation à une personne lésée par le vaccin contre la Covid, une autre décision a été rendue au nom du peuple italien condamnant le ministère de la Santé. Cette fois, le juge est à Naples et avait rendu sa décision le 16 janvier. L’actualité a toutefois été relancée grâce à l’affaire très médiatisée d’Asti concernant une femme de 52 ans atteinte de myélite et désormais incapable de marcher à cause du vaccin Pfizer.

« Mon client souffrait du syndrome de Guillain-Barré post-vaccination. Il peut désormais compenser au moins partiellement les graves désagréments que son handicap entraîne », a expliqué Maître Mescia.

L’homme de 55 ans a en effet été contraint de fermer son salon de coiffure immédiatement après l’apparition des symptômes causés par le vaccin, s’appuyant uniquement sur les soins de sa femme et de sa fille. Le jugement a reconnu que le syndrome était directement lié à l’administration du vaccin Pfizer contre la COVID-19 et lui a accordé une indemnisation de quatrième degré, conformément à la loi 210 de 1992, d’un montant de 2 000 € tous les deux mois.

Comme on le sait, le syndrome de Guillain-Barré est une maladie grave qui attaque les nerfs des articulations périphériques telles que les bras et les jambes et qui est démyélinisante, c’est-à-dire qu’elle dépouille la gaine nerveuse.

Mais comment a-t-il été possible de convaincre le juge et ainsi de mettre en échec le ministère de la Santé, qui a manifestement déployé ses experts pour nier le lien avec le vaccin ?

Nous sommes partis de données cliniques : les symptômes sont apparus immédiatement après la vaccination, le jour même, et ont été immédiats. L’homme, âgé de 50 ans au moment de la vaccination, a reçu la première dose du vaccin Comirnaty le 3 mai 2021 et le rappel le 27 mai au Centre de vaccination Hangar Capodichino de Naples. Le 30 mai, il a été admis au service de neurologie avec les symptômes bien connus de paresthésie et de déficits fonctionnels affectant les membres inférieurs. Il est sorti de l’hôpital le 6 juin avec un diagnostic sans ambiguïté : polyradiculonévrite subaiguë due à une suspicion de myélite liée à la vaccination. Après plusieurs hospitalisations, il a décidé de consulter un expert médico-légal, qui a confirmé le lien de causalité.

Le reste appartient à l’histoire récente : la comparution devant le tribunal, le ministère agissant comme partie adverse, et enfin le jugement qui a ouvert la voie à une indemnisation et reconnu que le vaccin lui avait causé une invalidité permanente : « L’apparition des pathologies dénoncées est imputable à l’administration avérée du vaccin en deux temps », a écrit le juge. Le juge a également vérifié l’absence d’autres facteurs déclenchants possibles, mais « l’événement aigu qui a affecté le plaignant est survenu en étroite conjonction avec l’administration du vaccin et, en l’absence d’autres facteurs étiopathogéniques, doit être imputé à la vaccination susmentionnée. »

Ces propos définitifs confirment une fois de plus que le vaccin a causé de graves dommages neurologiques à des personnes en parfaite santé avant l’administration du vaccin, qui n’auraient eu aucune raison de craindre de contracter la Covid avec un traitement approprié. Et qu’une vaccination inutile, mais obligatoire, a précipité la tragédie d’un handicap à vie.

L’arrêt de Naples, comme celui d’Asti et d’autres qui commencent à être déposés auprès des chancelleries, est le dernier clou dans le cercueil du vaccin 100% sûr, des bénéfices qui l’emportent sur les risques et du fait que le vaccin à ARNm soit plus sûr qu’AstraZeneca.

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