Le ministère de l’Intérieur a déclaré lundi qu’il ne communiquerait pas le nombre de voitures brûlées en France lors des soirées du 13 et du 14 juillet, contrairement aux deux dernières années.
Selon des chiffres communiqués par des sources policières concordantes, 195 voitures ont été brûlées à Paris et en petite couronne sur l’ensemble des deux nuits dernières. Un chiffre en baisse par rapport aux 212 véhicules partis en fumée l’an dernier. En revanche, davantage de policiers ont été pris pour cible avec 156 jets de projectiles reçus cette année, contre 66 en 2018. Si l’on ajoute les jets de mortiers d’artifice, sortes de gros pétards, et les jets de projectiles sur le mobilier urbain, la police a recensé 434 faits contre 225 l’an passé, soit près de deux fois plus.
Dans la soirée de dimanche, 282 personnes ont été interpellées.
F. JACQUEL
Incontestablement, le plus sûr moyen de ne pas avoir de température, c’est de casser le thermomètre.
Comme le plus sûr moyen de ne pas avoir de mauvaises nouvelles (surtout si ce sont des faits avérés), c’est d’interdire les médias qui osent en parler.
Déjà, les “villages Potemkine” auraient caché à la Tsarine Catherine II la misère des campagnes lors de ses déplacements.
Finalement, JUPITER et Casse-ta-mère n’ont rien inventé et leurs mensonges ne bercent plus que les bobos et les gogos.
philippe paternot
contre les giletjaunes, lbd, matraque etc.
contre les antifas casseurs et les djeunes des quartiers saccageurs, les crs regardent (comme les ordres ont été donnés) avant d’en interpeller quelques uns qui seront relachés ensuite
Faliocha
Philippe Paternot, vous oubliez les milliers d’interpellations qui mènent à de vraies condamnations (non non, rassurez-vous je ne parle pas du 14 juillet mais du bas peuple franchouillard)