Le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes publie, chaque semaine, depuis la fin du mois d’avril, des analyses et des propositions pour dénoncer des atteintes à l’égalité entre les femmes et les hommes et pour recommander des pistes d’action aux pouvoirs publics. Première vigilance, je vous le donne en mille : l’avortement, alors que la France compte plus de 220 000 avortements chaque année. Le sang appelle le sang…
Le HCE constate la pénurie de médecins pratiquant l’avortement. Durant le confinement,
Le numéro vert national « Sexualités, contraception, IVG », porté par le Planning familial, a vu ainsi augmenter de 50% le nombre d’appels sur sa plate-forme depuis le début du confinement. La peur de sortir et d’attraper le virus, celle de ne pouvoir trouver de prise en charge, le renforcement du sentiment de solitude et de culpabilité, joint à une action délibérée de l’action des « antichoix » en cette période de confinement, via le référencement de leurs sites et leurs lignes d’écoute sur Internet, découragent nombre de femmes à exercer leurs droits.
Le HCE demande 4 mesures. Voici l’agenda des prochains mois (avec vos impôts) :
- L’allongement du délai durant lequel l’avortement chirurgicale peut être pratiquée en le portant à 14 semaines de grossesse au lieu de 12.
- La suppression du délai de 48 heures imposé aux mineures entre la première consultation et l’avortement.
- La modification de l’article L.2213-1 du code de la Santé publique pour ce qui concerne l’accès à l’IMG pour des raisons psychosociales avec un élargissement aux gynécologues membres d’un centre d’orthogénie ou d’un service de gynéco-obstétrique pour augmenter le nombre de praticiens mobilisables.
- Un renforcement de l’information sur ces nouveaux dispositifs, car évidemment, l’Etat ne fait pas assez de publicité en faveur de l’avortement…
Le HCE se permet aussi d’exprimer son inquiétude devant les manœuvres de certains gouvernements, comme ceux de Pologne, de Hongrie, ou encore de la Russie et de certains Etats des Etats-Unis, qui osent restreindre l’accès à l’avortement.
AFumey
D’une certaine manière ce rapport a le mérite de la clarté. Nous en arrivons désormais à la mise en pleine lumière de l’action tout puissante de l’adversaire. Il n’aime pas et va devenir violent, ce qui contribuera paradoxalement à le dévoiler davantage.
Notre action, puisque l’adversaire détient sans partage tous les leviers du pouvoir: la prière (“notre secours est dans les mains du Seigneur…”) puisque toute solution humaine est vouée à l’échec.
Il est intéressant d’observer qu’une écrasante majorité de Français estime désormais que la mal nommée ‘bioéthique’ n’a strictement rien de prioritaire; on peut donc s’attendre à retour de bâton plutôt violent, fruit d’une prise de conscience de la réalité que nous connaissons depuis longtemps. Il n’est par exemple pas exclu que la ruine de l’Etat, conséquence de décisions stupides (“raisons” de l’ex ministre de la santé sur l’interdiction de l’HCQ?) assèche drastiquement les subventions et purifie le pays, tout en renouvelant les solidarités basiques, familiale en premier lieu.
Chouan85
Le Jugement Final sera terrible pour ces criminels!!! Ils ne pourront alors plus se repentir et ce sera terrible pour eux.
Prions pour la conversion de nos ennemis et des ennemis du genre humains!
incongru
on se demande vraiment pourquoi les femmes concernées ne se font pas carrément stériliser : le “problème” serait définitivement réglé, elles seraient un homme comme les autres
c’est la resucée permanente, et ça lasse, pour le moins