Le Monde regrette que les médecins aient une conscience :
L’autorisation d’avorter jusqu’à quatorze semaines de grossesse a été votée en mars 2022. Mais, entre clause de conscience des médecins et manque de centres de prise en charge, les freins restent nombreux.
Laura Marin Marin, porte-parole de l’Association nationale des centres d’IVG et de contraception (Ancic), aussi :
« il existe des endroits en France où les femmes ne sont toujours pas prises en charge au-delà de douze semaines de grossesse, et qu’on réoriente vers des centres qui appliquent la loi ».
Lors des vifs débats ayant précédé l’adoption du texte, les professionnels de santé qui s’y opposaient mettaient en avant les nouveaux gestes techniques qu’implique une IVG passé un certain délai.
« Une partie de ceux qui étaient contre ont donné des arguments principalement techniques, assez choquants, pour étayer cette réticence. Pourtant, il est depuis longtemps possible dans notre pays d’interrompre des grossesses jusqu’au terme.»
Michel
Pour tenir d’aussi ignobles propos, l'(Im)Monde doit sans doute regretter l’époque du Dr Mengele…
LouisBansergmann
Qu’attendent-t-ils donc à part des arguments «techniques».
Ce n’est pas suffisant de devoir régulièrement broyer le crâne d’un jeune enfant et de le découper membre par membre pour le faire sortir du ventre de la mère ?
Espérons pour ces journalistes et politiciens qu’ils ne savent pas ce qu’ils font, ou bien c’en est fait de leur âme.