Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"Les fonds manquant pour entretenir convenablement le réseau de chemins de fer français, il va falloir faire des choix et peut-être fermer une partie des "petites lignes" qui ne voient passer que très peu de trains, nous dit l’AFP, qui a recueilli les propos du président de RFF, Hubert du Mesnil. 3.000 à 4.000 km de lignes sont pourraient être fermés. La SNCF, qui exploite la quasi-totalité des trains menacés, "n'est pas responsable de la consistance du réseau", rappelle son président Guillaume Pepy.
En janvier dernier, Jean Jaffrenou, directeur de la CFTA, évoquait la dynamique des lignes que sa société exploite, Carhaix-Guingamp et Guingamp-Paimpol, et prévoyait une nouvelle hausse du trafic en 2010. Ces lignes ont été fermées par la SNCF en 1967, parce que non rentables, et reprises aussitôt après par une compagnie privée, la CFTA, qui est par ailleurs, aujourd’hui, le principal concurrent de la SNCF dans le domaine du fret."
Boris
De toute façon, la SNCF et le RFF pratiquent la vieille méthode de “si tu veux tuer ton chien, dis qu’il a la rage” !
Coté train, cela se traduit par des horaires inintéressant dans certaines petites gares qui tout d’un coup voient le nombre de passagers chuter.
Il ne reste plus à la SNCF à dire que ces petites gares ne sont pas rentables.
Mensonge et hypocrisie !
Mais comme personne ne lève le petit doigt pour enrayer de telles pratiquent …
pg
@ Boris
Le problème n’est pas seulement celui des horaires où les trains sont moins fréquentés. C’est celui du coût des salaires à la SNCF, qui emploie 50 % de plus de personnel technique et roulant au KM de voie ferrée que la Bundesbahn allemande et deux fois plus de personnel administratif : cherchez l’erreur.
Robert Marchenoir
Evidemment qu’il faut fermer les petites lignes et qu’elles ne sont pas rentables. La question n’est pas là.
La question est que des lignes d’autocars privés seraient éminemment rentables, éminemment bon marché pour les voyageurs, qu’elles rendraient des services infiniment supérieurs aux fameuses “petites lignes” SNCF, et qu’elles sont… interdites.
Je répète : en France, il est interdit d’ouvrir des lignes d’autocars régulières pour transporter des passagers.
(Le mécanisme est évidemment un peu plus complexe que cela, mais dans la pratique, ça revient à ça.)
Et pourquoi est-ce interdit ? Pour protéger la SNCF de la concurrence, bien sûr.
Il est là, le vrai scandale.
Pour vous en convaincre, regardez les tarifs pour traverser la moitié de l’Europe en autocar, par ligne régulière. On doit bien pouvoir faire 2 000 kilomètres pour le prix d’une course en taxi de Paris à Roissy.
Transposez ça à des dessertes régionales et locales en France, et rendez-vous compte de ce que vous vole, en pouvoir d’achat et en commodité de vie, depuis un demi-siècle, le socialisme français.
Dans l’unique but de protéger les sinécures de millions de fonctionnaires ou assimilés.
aramis
d’où tenez-vous ces chiffres ?
topaze
Bonjour,
Par contre je n’ai jamais vu la fermeture de routes non rentables ou il circulait peu de véhicules par jour.
Le réseau ferré français a déjà été très saigné et même cela é ét une erreur de fermer certaines lignes.
Il faut savoir que le budget d’entretien des routes est illimimé et il est sans commune mesure avec celui de l’entretien des voies ferrées.
Journaliste dans la presse ferroviaire
dakota
Il n’y a aucun pays en Europe où les chemins de fer -notamment l’entretien des voies- ne soient pas subventionnés. La SNCF fait ce qu’elle peut mais elle est confrontée à des charges fixes très imporantes. Aux conditions économiques actuelles, certaines lignes ne seront JAMAIS rentables. Quant à CFTA (groupe Veolia Transport), ses affaires ne sont pas si florissantes car il vient de vendre ses activités Fret à Eurotunnel … et à la SNCF !
Boris
@ PG
Nous sommes bien d’accord : il y a une somme de problème dans la gestion de la SNCF, coté RH, coté lignes, …
J’expliquais seulement la méthode utiliser pour faire fermer une ligne, méthode dégoutante et scandaleuse, méprisant les concitoyens et usagers.
D’ailleurs, en écrivant mon premier commentaire, j’avais une gare très précise en tête : cette a été intégralement rénové peu de temps avant la mise en oeuvre de cette politique visant à la fermer !
Comme vous dites : “cherchez l’erreur” !
athos
En quoi une entreprise privée serait elle plus intéressante qu’une publique qu’il suffirait de réformer ?
[Quand la France réussira à réformer une entreprise publique, il faudra me prévenir. MJ]
La CFTA appartient à Veolia qui est une multinationale. Certes son actionnaire majoritaire est la Caisse des Dépôts (pourcentage du capital : 9,58% au 31 décembre 2009), mais vient en 3ème position Capital Group Companies qui gère les investissements des fonds de pension américains… (source http://www.veolia.com/veolia/ressources/files/1/3341,Document-de-reference-2009-Veolia-E.pdf ).
A noter qu’au 31 décembre 2007 Capital Group Companies était l’actionnaire majoritaire de Veolia… Une partie des capitaux de Veolia se trouve à l’étranger… et passe d’une main à l’autre…
Donc une partie des billets de train achetés à la CFTA sert à financer les retraites des américains. Et ce n’est qu’un simple exemple, à ce sujet on peut lire La grande braderie du patrimoine public des Français de Jean Roux ( Commissaire aux comptes) qui décrit bien le phénomène de fuite à l’international du patrimoine public français qui constituait sa colonne vertébrale économique : http://www.amazon.fr/grande-braderie-patrimoine-public-Fran%C3%A7ais/dp/2755400919 (il dénonce notamment la complicité des syndicats)
La conséquence directe est le déficit colossal de la France. Inutile d’avoir fait une grande école de commerce pour comprendre qu’un pays qui dépense sans récolter court à la faillite.
athos
La RATP, air france, etc. L’état n’a cessé de réformer les entreprises publiques depuis 1945….
Robert Marchenoir
“Le réseau ferré français a déjà été très saigné et même cela été une erreur de fermer certaines lignes.”
Non, non. Si quelqu’un a été saigné, c’est le contribuable français. Je ne vois pas comment on peut “saigner” un tas de ferraille et de bois.
Erreur économique classique en France, qui a hélas des conséquences désastreuses.
L’Etat n’est pas un arbre miraculeux sur lequel poussent des billets de banque. L’Etat, c’est l’argent prélevé d’autorité sur le travail des citoyens. L’Etat commence donc par appauvrir avant de se rendre utile. C’est pourquoi ils faut limiter sa taille au maximum, et être très vigilant sur la productivité de son travail.
Vivi, la productivité. Je sais. C’est ultralibéral, la productivité. C’est très très mal.
athos
c’est surtout idiot, marchenoir. Votre vision de l’état et la réduction de l’économie à la productivité sont typiquement libérales. Et ne pas voir que le productivisme est le destructeur de l’économie réelle est consternant.
Jeannette
Robert Marchenoir, ou lisez-vous que j’ai dit un jour que la productivité était mauvaise ?
Mais avec la précarité, la flexibilité, la mobilité, les entreprises sont-elles si productives ?
Ou vos jeunes filles en pension, 24 h sur 24 en Chine, sont-elles le meilleur exemple industriel que vous ayez à me donner ?
Et donnez-moi aussi ce qui se produit en France de qualité ? Comme il y a… longtemps !
On ne se comprend pas : le mieux est que je me taise.
Bon dimanche.
Robert Marchenoir
“C’est surtout idiot, marchenoir. Votre vision de l’état et la réduction de l’économie à la productivité sont typiquement libérales.”
En même temps, Athos, c’est un peu normal : je suis libéral.
Où avez-vous vu que je “réduise” l’économie à la productivité ? La productivité est un instrument de mesure, un rapport arithmétique ; l’économie est une discipline scientifique et une branche de l’activité humaine.
En revanche, exiger de l’Etat qu’il soit productif, c’est non seulement une nécessité économique, mais c’est aussi un impératif moral.
“Ne pas voir que le productivisme est le destructeur de l’économie réelle est consternant.”
J’ignore ce que sont “le productivisme” et “l’économie réelle”. Veuillez préciser.
Il y aurait une fausse économie ? S’agirait-il, par hasard, de celle qui prétend produire quelque chose d’utile à la société avec des millions de fonctionnaires invirables, représentant entre le cinquième et le tiers (à la louche) des gens censés travailler dans ce pays ?
“Robert Marchenoir, ou lisez-vous que j’ai dit un jour que la productivité était mauvaise ?”
Nulle part, Jeannette. Je n’ai pas lu votre nom sur ce fil, et je ne m’adressais à personne en particulier en parlant de productivité. Loin de moi l’idée de faire taire quiconque.
Jeannette
Robert Marchenoir, moi je vous lis souvent et je pensais que vous connaissiez mon point de vue sur l’économie en France.
Savez-vous, qu’aux impôts, où je travaille, nous avons presque tous présenté un concours à la suite d’un licenciement, d’un long temps de chômage, et d’une impossibilité de retrouver un emploi dans l’entreprise ? ET CE, DEPUIS AU MOINS 20/25 ANS ? Nous aurions bien voulu retrouver un emploi dans l’entreprise !!!
Les services publics sont très différents et il ne faut pas tout amalgamer.
Or, après avoir connu beaucoup de déboires, voici que les administrations sont exsangues en personnels, au point de ne plus pouvoir assurer les missions. D’où sortez-vous que les fonctionnaires sont plus nombreux ? Pourquoi vous trompez-vous d’ennemis ? Les vrais assistés sont ceux qui perçoivent des aides, travaillent au noir et ne paient rien ! Mais, curieusement, vous n’en dites jamais rien.
J’ai travaillé dans le privé et les fainéants, planqués et bien payés sont nombreux aussi.
Je n’ai pas du tout une conception marxiste de l’économie. Voici ce que je dis. L’économie est au service de l’homme et non pas l’homme qui est au service de l’économie.
Les administrations sont le dernier rempart qui empêche le totalitarisme et ceux qui tirent les ficelles le savent et ils les ont détruites en enfumant les français depuis des années, en les mettant plus bas que terre. Et ça a marché.
Bonne soirée.
Robert Marchenoir
Désolé, Jeannette, je n’avais pas lu vos contributions.
Comme beaucoup de fonctionnaires, vous semblez confondre critique d’un système et attaque personnelle. En même temps, si vous défendez ce système (ce qui est bien compréhensible puisqu’il vous fait vivre), ne vous étonnez pas d’être critiquée à votre tour, surtout par ceux qui vous payent.
Après tout, les fonctionnaires, ou du moins certains d’entre eux, pourraient bien reconnaître : oui, il y a trop de fonctionnaires, oui, l’Etat est mal organisé et trop dispendieux. Tout le monde a le droit de prendre du recul sur sa propre corporation, et la critiquer soi-même. Il me semble que ce serait une démarche normale.
Mais non : c’est toujours la réaction corporatiste prévisible.
Donc, assumez votre impopularité auprès de vos concitoyens qui payent votre salaire, bien malgré eux.
Surtout là où vous travaillez, aux impôts ! Rappelez-moi combien vous êtes, au minisètre des Finances ? Plusieurs centaines de milliers, de tête, en ordre de grandeur, c’est bien ça ?
Savez-vous combien il y a de fonctionnaires au ministère des Finances suédois ? Toujours de tête, et en ordre de grandeur : une centaine.
Est-ce la révolution, en Suède ? La famine ? L’anarchie ? Vous avez remarqué quelque chose d’anormal ? Non. Alors je vous pose la question : à quoi servez-vous exactement ?
Vous donnez la réponse vous-même : en guise d’argument pour justifier la pléthore de fonctionnaires, vous nous apprenez que vous avez, dans votre service, “presque tous” rejoint la fonction publique après un lienciement du privé !
Vous ne vous rendez même pas compte de l’énormité de vos propos : en d’autres termes, vous nous dites que les emplois de fonctionnaires ne servent qu’à absorber les chômeurs du privé !
Mais, si cela prouve quelque chose dans un sens ou dans l’autre, cela montre que votre poste ne sert à rien ! Qu’il n’a aucune utilité sociale !
Pire que ça : c’est votre poste qui détruit l’économie, puisque a) c’est un poste inutile, b) pour le payer, il faut augmenter les impôts, donc diminuer la rentabilité des entreprises, donc diminuer l’emploi dans le privé.
Enfin, il est aberrant d’affirmer que l’administration serait un barrage cntre le totalitarisme. L’administration, c’est le totalitarisme, et en particulier celle que vous représentez.
Le totalitarisme, par définition et sous nos latitudes, c’est un Etat dictatorial. C’est véritablement se moquer du monde qu’essayer de nous faire croire qu’un Etat plus gros, plus puissant, aurait pour but de limiter lui-même ses pouvoirs. C’est, bien évidemment, l’inverse.
Pour protéger sa liberté, un peuple doit tenir la bride courte à son Etat et à ses fonctionnaires. L’Etat doit être petit, les fonctionnaires peu nombreux, et leur pouvoir limité.
Vous me reprochez de ne pas dénoncer ceux qui abusent des aides. C’est que vous ne m’avez pas assez lu. Je le fais souvent. Pas forcément ici.
Notez que votre remarque est contradictoire. Si les gens abusent des aides, c’est qu’elles existent, pour commencer. Il y en a beaucoup trop.
Ces aides, c’est la gauche qui fait pression pour les multiplier. Comme elle fait pression pour multiplier les fonctionnaires. Qui votent à gauche. Fonctionnaires qu’il faut multiplier pour distribuer les aides. Une véritable pyramide de Madoff !
S’il y a des fraudes, c’est, ensuite, que les fameux fonctionnaires, malgré leur nombre, sont tellement mal organisés qu’ils laissent passer des énormités (voir ce qui se passe à la Sécu).
En somme, vous reprochez aux administrés vos propres manquements. Vous vous défaussez sur eux de vos propres responsabilités.
Cela correspond tout à fait à mon expérience personnelle des services des impôts : c’est moi qui apprends la législation fiscale aux inspecteurs du fisc. Et sur des points basiques, hein. Et puis c’est moi qui les informe des données qu’ils détiennent dans leurs fichiers sur mon compte.
En somme, je fais leur boulot à leur place, et il faut en plus que je paye leur salaire.
Ah, et puis je n’ai jamais encore vu un employé des impôts stressé. Le rythme de travail a l’air, comment dire… véritablement très serein. Rien à voir avec le privé, contrairement à ce que vous dites.
athos
la dernière contribution de marchenoir est un condensé assez extraordinaire des lieux communs sur les fonctionnaires, du genre de ceux que l’on trouve à longueur de pages dans le très libéral cri du contribuable.
On n’en attend pas moins, bien sûr d’un libéral, pour le moins ultra.
Là où le bât blesse, c’est que marchenoir procède par amalgames, affirmations sans démonstration, chiffres sans source (et d’ailleurs faux), et ce trouve bien en peine de démontrer la cohérence de son propos.
De plus, il se permet de jouer au professeur d’économie, alors mêm qu’il ignore, de son propre aveu, le sens de “productivisme” et “d’économie réelle”.
Alors, pour son info, le productivisme est la doctrine qui fait de la productivité le but de l’économie et l’économie réelle et l’économie sans lien avec la bulle financière et spéculative. CQFD.
athos
je tombe également sur une énormité dans la précédente contribution de marchenoir. La productivité serait un impératif moral !
Voilà donc un mécanisme économique affublé de moralité. Le genre d’arguments qui permet à certains capitalistes de justifier licenciements, délocalisations, baisse de salaires, travailler plus pour gagner moins, le travail du dimanche etc, etc.
On est loin, très loin de la doctrine sociale de l’église. Cher marchenoir, je vous renvoie aux propos et écrits les plus récents de Benoît XVI.
Robert Marchenoir
“On est loin, très loin de la doctrine sociale de l’église. Cher marchenoir, je vous renvoie aux propos et écrits les plus récents de Benoît XVI.”
Décidement, Athos, vous avez du mal à imaginer qu’on puisse avoir des opinions ou des croyances différentes des vôtres.
Je me suis déjà vu obligé de vous informer que j’étais libéral, et que par conséquent me reprocher des opinions parce qu’elles sont libérales n’avait pas grand sens.
Je dois maintenant vous faire une autre révélation stupéfiante : je ne suis pas catholique.
Il va donc vous falloir faire un effort un peu plus soutenu, pour me contredire, que d’invoquer Benoît XVI — […] que j’aime beaucoup, ce n’est pas la question.
Par ailleurs, on trouve dans l’encyclique “L’amour dans la vérité” une justification du libéralisme économique (on peut aussi y trouver l’inverse, et c’est bien ce qui est un peu agaçant dans ce genre de textes de l’Eglise : un coup à droite, un coup à gauche et je botte en touche).
Quant à vous, vous n’êtes certainement pas économiste, d’après ce que vous écrivez. Les chiffres que j’ai donnés sont parfaitement exacts. Personne ne vous empêche de donner les vôtres si vous pensez que ce n’est pas le cas.
La productivité de l’Etat (vous avez omis ce dernier terme) est un impératif moral pour des raisons qui devraient être évidentes : les fonctionnaires sont payés par le même Etat qui oblige les citoyens à payer l’impôt, sous peine de prison et par la menace des armes.
Cela crée evidemment un conflit d’intérêt.
Il va de soi qu’en conséquence, et pour mériter la confiance du peuple, les fonctionnaires individuellement, et l’Etat collectivement, devraient se faire un point d’honneur d’être le plus productifs possible, afin de peser le moins possible sur le budget de leurs concitoyens.
Le fait que ce point ne saute pas aux yeux de tout un chacun montre que la France est pourrie par le socialisme.
athos
je vous renvoie le compliment : vous avez le plus grand mal a admettre la critique (que vous confondez avec reproche, décidément vous êtes fâché avec le vocabulaire)argumentée. De plus, n’étant pas catholique, on se demandera ce que vous venez errer ici.
Benoit XVI n’a jamais justifié le libéralisme économique dans son encyclique, amis la libre entreprise. Là aussi, il vous faudra faire des efforts (soutenus) de compréhension.
Je maintiens que vos chiffres sont faux (et imprécis). Et vous êtes bien en peine de citer vos sources. J’attends….
Et encore une fois, venir jouer au prof d’économie quand on ignore le sens de productivisme et économie réelle…..et également le terme de productivité. Il me faut vous rappeler que la productivité est la mesure de la valeur ajoutée produite. Le but de l’état n’étant pas le profit, vous m’expliquerez comment mesurer la productivité du travail du fonctionnaire… C’est impossible (en tout cas avec les mesures économiques des entreprises de production), et explique d’ailleurs l’échec des plans de performance de l’état actuel.
“cela crée évidemment un conflit d’intérêt” : pourquoi ? Expliquez, ce n’est pas clair.
On aura compris, à la lecture de votre conclusion, que vous seul avez compris.
Mais l’emphase ne remplace pas les arguments.
MARCHENOIR PRESIDENT !