C’est le fruit de la nouvelle législation qui protège davantage la vie de l’enfant à naître. Selon le ministère de la santé, le nombre d’avortements est tombé à 107 (cent-sept) l’année dernière. En France c’st 230 000…
Fin octobre 2020, le Tribunal Constitutionnel (TC) polonais a jugé que l’avortement eugénique était inconstitutionnel. Jusqu’à la publication de l’arrêt du 22 octobre 2020, le droit polonais prévoyait que le droit à la vie était protégé dans la phase prénatale, à l’exception de 3 circonstances décrites dans la loi sur la planification familiale.
« La loi fonctionne et a permis de sauver des personnes concrètes », déclare Magdalena Korzekwa-Kaliszuk, avocate et psychologue, présidente de la Fondation du groupe Proelio. Les années précédentes, le nombre d’avortements enregistrés par le ministère de la Santé était de 1 076 (en 2018 et 2020) et de 1 110 en 2019.
Selon Magdalena Korzekwa-Kaliszuk, si la loi n’avait pas été modifiée à la suite de l’arrêt de la Cour, l’année dernière également, un millier d’enfants auraient perdu la vie avant leur naissance en Pologne, principalement en raison d’une suspicion de trisomie 21.
« Une bonne loi a une influence positive sur l’attitude des gens. D’une part, elle renforce la conviction que le droit à la vie ne doit pas dépendre du diagnostic d’un état pathologique. D’autre part, le fait de ne pas pouvoir tuer un enfant pour des raisons eugéniques signifie que les médecins n’auront plus aucune raison de suggérer ou même de faire pression sur les parents pour qu’ils avortent ».
En Pologne, comme ailleurs, des pressions ont souvent été exercées sur les femmes pour qu’elles avortent pour des raisons eugéniques.
Les organisations pro-avortement affirment que, suite à la décision du TC, les femmes polonaises choisissent l’avortement à l’étranger. Selon le député de gauche Joanna Scheuring-Wielgus, ils se compteraient « par milliers ». Mais aucune preuve n’est fournie pour étayer cette affirmation.
MARIE
Mais combien d’avortement des polonaises à l’étranger ou avec des méthodes comme nos grands-mères qui mettent la vie des femmes en danger
Michel
Vous nous servez les habituels faux-arguments des défenseurs du “droit d’avorter”, c’est-à-dire du droit d’assassiner un innocent dans le sein de sa mère… Et vous osez signer sans honte “MARIE”… un comble !
MARIE
Cher monsieur, mon prénom est Marie Claude, je ne suis pas responsable de ce prénom, c’est mes parents qui ont décidé de m’appeler ainsi, j’ai mes idées mes parents avaient les leurs donc je pose une question j’aimerais qu’une personne me réponde pour pouvoir me faire une opinion
MARIE
L’enfant n’est pas dans le sein de sa mère, mais dans le placenta qui se trouve dans l’abdomen de la femme, je m’aperçois que vous n’avez jamais vu une femme enceinte.
Michel
Et en plus, vous jouez sur les mots sans bien connaître le français : le sein signifie ici non l’organe, mais l’intérieur, le centre.. Mais cela ne change rien au fait que l’avortement est un meurtre….