Il a contracté, quand il avait 21
ans, une très mauvaise pneumonie et "on lui a retiré trois kystes en
pratiquant l'ablation de la partie supérieure de son poumon droit. Il
lui est resté de cette expérience une déficience pulmonaire qui, bien
que ne le handicapant pas gravement, lui fait sentir ses limites
humaines".Par conséquent, s’il ne chante pas, c’est tout
simplement parce qu’il n’a pas suffisamment de souffle pour le faire,
comme on peut s’en douter en l’entendant parler, le souffle court et à
voix basse. De toute façon, il a avoué : "Je chante complètement faux".
Il ne parle pas d'autre langue que l'italien :
Effectivement,
il parle bien l’italien. D’autre part il comprend également le dialecte
piémontais, que sa famille parlait à l’origine. Mais "en ce qui
concerne les autres langues – a-t-il reconnu dans son autobiographie –
je devrais dire non pas que je les parle mais que je les parlais, parce
que je manque de pratique. Le français, je le parlais plutôt bien et,
pour ce qui est de l’allemand, je me débrouillais. La langue qui m’a
posé le plus de problèmes a toujours été l’anglais, surtout en ce qui
concerne la phonétique". C’est un fait que, en renonçant à parler
d’autres langues que l’italien, Bergoglio semble avoir décidé de
sacrifier – en public – même sa langue maternelle, l’espagnol. À Pâques, il a également renoncé aux vœux immanquablement présentés en 65 langues par les papes ses prédécesseurs."
Il n'avait jamais eu de secrétaire :
Au
Vatican, il a été contraint par la force des choses à prendre un
secrétaire. Il s’agit du Maltais Alfred Xuereb, qui était précédemment
le second assistant de Benoît XVI. À Buenos Aires aussi, il avait une
secrétaire, mais c’est lui qui gérait ses rendez-vous, c’est lui qui les
notait sur son agenda de poche dont il disait : "ce serait une
véritable catastrophe si je le perdais".