Le ministre de l'Education nationale était auditionné par plusieurs députés de la mission d'information sur les questions mémorielles de l'Assemblée nationale, qui s'interrogeaient sur le contenu de l'enseignement,
sur la place des commémorations, ou encore sur le conflit entre mémoire
et approche scientifique de histoire.
considérons comme devant être enseigné aux élèves soit prescrit par la
représentation nationale? Nous n'aurions pas ces questions. Evidemment on ne peut pas rentrer dans tous les détails. Mais on
aurait au moins des grands sujets qui seraient reconnus une bonne fois
pour toutes. "Je pense que pour ce qui est de l'histoire en particulier, je me
demande même si ça ne s'impose pas. C'est moins important pour des
enseignements de disciplines qui ont un caractère scientifique et
répétitif plus marqué. Mais peut-être que pour l'histoire ce serait
nécessaire. Je pense que nous réglerions une partie de nos difficultés -parce
qu'on voit bien qu'on est en difficulté au fond, derrière tout cela il
y a des questions politiques (…) il y a des débats profonds- et
peut-être un vrai débat public devrait se passer au parlement".
MJ
MONROSE
Evidence que Chirac avec la complicité du fils de l’amer Michel, a cru pouvoir gommer en annulant le fameux amendement qui réclamait que l’aspect positif de la Colonisation soit aussi enseigné, et non pas exclusivement , ce que nos bons marxisés ( même quand ils l’ignorent) veulent bien montrer à nos enfants. Soudain, on devrait parler de Laveran, de Yersin, de Savorgnan de Brazza passés à la trappe, comme Staline effaçait l’image de ceux qui lui avaient déplu, dans l’imagerie officielle. Les Historiens patentés ont poussé des cris d’orfraie, prétextant qu’on attentait à leur liberté, alors qu’ils avaient été bien silencieux pour critiquer la loi Gayssot-Toubon qui, elle, s’en prend directement à leur recherche fondamentale.
L’enseignement dans le primaire et le secondaire est plus une ouverture de l’esprit, un ensemble de clés minimales, destinées à préparer ceux qui le désirent à l’enseignement supérieur. Si demain, les marxistes décident que le nombre pi ou le théorème de Thalés sont réactionnaires puisqu’immuables et non susceptibles de progrès indéfini, faudra-t-il aussi les supprimer des programmes ?
piero
Pauvre ministre à la recherche d’une vérité
historique qui serait défini par la représentation parlementaire du moment.
Cela dénote un mal être de ce ministre qui ne sait pas ou il va avec “sa réforme.
Son lycée à la carte qui est un renoncement
à imposer des programmes structurés et qui est d’une folle démagogie
le pousse à rechercher désespérément à se rapprocher des propositions des “révolutionnaires “.
Il sait que c’est là le seul groupe susceptible de lancer de élèves dans la rue et de faire capoter “sa” réforme.
Alban
Je vous recommande de regarder cette petite video. Il s’agit d’une intervention d’un professeur de droit de Rennes donnée le 14 octobre dernier.
Très instructif !
Ce professeur n’a manifestement pas été écouté !
Le lien à suivre est le suivant : http://www.dailymotion.com/video/x74nmu_lois-memorielles-lois-scelerates_news
Amédée
Je propose que le Parlement rédige le programme mathématique de la règle de droit afin que Xavier Darcos sache la faire désormais… http://www.youtube.com/watch?v=O0SLpAJ_8aw
Je propose aussi que le Parlement rédige l’apprentissage en Français de la règle du passé antérieur afin que Xavier Darcos l’apprenne: http://www.dailymotion.com/video/x540ni_darcos-et-la-regle-de-trois_news