Le Collectif des sages-femmes de demain qui compte 883 membres s'oppose à l'idée de pratiquer des avortements médicamenteux, disposition qui va être discutée cette semaine par les sénateurs dans le cadre du projet de loi sur l'hôpital. Olivia Dechelette, porte-parole du Collectif, explique :
"le suivi de cet acte, avec ses éventuelles complications hémorragiques, n'entre pas dans nos compétences techniques. Par ailleurs, certaines sages-femmes sont opposées à ce projet qui dénature le sens de notre métier, à savoir accompagner des naissances".
Il s'agit du retour sournois de l'amendement Poletti, retiré en février.
Denis Merlin
Il s’agit d’une technique maçonnique bien au point : retrait mensonger pour user la résistance, endormir, satisfaire, puis remise sur le tapis pour déprimer. Tout cela est parfaitement calculé, fondé sur la connaissance de la psychologie. Mais c’est abject.
Il faut dire que l’on peut s’attendre à tout de la part d’assassins en séries.
Notons aussi le spot publicitaire pour le préservatif qui ne fait qu’encourager les viols. (De nombreuses jeunes filles se sentiront coupables de dire “non”.) De nombreux viols sont ainsi perpétrés sans même être dénoncés, par action sur la fragilité féminine. Et tout cela au nom de la “libération” de la femme ! Abominable !
Jean Theis
Travail dominical et avortement : ils ont de la suite dans les idées.
Plus il y a de chômage, plus ils prétendent nous faire travailler.
Moins il y a de jeunes pour payer les cotisations, plus ils veulent les tuer.
Tout est rationnel et logique.
VD
Ne peuvent-ils donc pas laisser les gens libres d’être ou pas des meurtriers ?
Quel démon les possède pour qu’ils souhaitent à toute force violer les consciences (même celles des non-catholiques qui suivent simplement la loi naturelle inscrite en tout homme…) !
AMarie
Cet engagement est une bonne chose. Mais il faudrait que le Collectif aille plus loin : se prononcer contre l’IVG tout court, et pas seulement contre l’IVG médicamenteux. Car pourquoi refuser l’un et admettre l’autre ?
Sancenay
elles sont sages et elles sont femmes : à l’époque de l’avènement du “gender” c’est une “espèce” menacée très aimable, à protéger en priorité !