Bonne nouvelle pour une fois, lue sur le site de Bernard Antony :
"Suite à l’appel interjeté par l’Agrif à l’encontre du jugement vraiment surprenant rendu le 25 janvier 2012 par le Tribunal correctionnel de Toulouse, le procureur de la République a décidé de reconnaître et d’accompagner notre démarche très légitime en exerçant son droit de recours devant la Cour d’Appel.
Il considère en effet que le jugement du tribunal présidé par monsieur Guillaume Roussel est d’abord entaché de graves irrégularités de forme notamment en ce qu’il s’appuie sur les déclarations de témoins recueillies en dépit des règles les plus impératives du code de procédure pénale.
Il observe ensuite que le jugement n’a pas du tout pris en compte les termes de la plainte de l’Agrif selon laquelle la communauté évidemment identifiée, désignée et injuriée est bien celle des « blancs » ; « ces blancs », qu’ « il faut rééduquer », qu’ « il faut bien nommer », et qu’Houria nomme en effet : « moi, je les appelle des sous-chiens ».
Est-il vraiment croyable que l’on n’ait pas saisi le réciproque renforcement injurieux de ces propos additionnant :
- le dédain menaçant : « ces blancs » qu’ « il faut rééduquer ».
- le mépris pour ces moins que rien : « ces blancs, il faut bien les nommer ».
- le racisme dégoulinant : « moi, je les appelle des sous-chiens ».
Qui, sérieusement, pourrait prétendre ne pas voir là l’expression d’une venimeuse haine raciste ?
L’Agrif attend désormais avec confiance de la Cour d’Appel de Toulouse la juste condamnation d’Houria Bouteldja."
Ethos
Cette houria ne fait que répéter ce que l’on inculque dès le plus jeune âge aux allogènes : nous Français de souche par le sang et par la terre, sommes des chiens.
Eh bien, soit.
Je lui préfère mon chien, infiniment plus noble qu’elle.
lavandin
je parie, dès à present , qu’elle va quand meme s’en sortir sans condamnation
C.B.
J’ignore quelle maîtrise cette dame a de la langue française (mais pour “indigène”, elle semble ignorer que cela signifie “né dans le pays ou la région”, autrement dit “autochtone”), et de la langue anglais, car il y a une traduction mot-à-mot qui donne “underdog”, mot anglais qui, selon wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Underdog -entre autres- signifie “Underdog est un mot anglais employé pour désigner un joueur qui est quasi-certain de perdre. Soit par l’opinion des autres ou la sienne. Il est à l’opposé du favori.”.