Le président de la Fédération protestante de France a appelé les
députés qui l'auditionnaient à un «débat sérieux»:
«vous posez une masse
de questions: avoir trois minutes pour répondre, c'est frustrant»«nous voyons ici à
quoi mène un dialogue fait dans l'urgence. Il faut maintenant nous
dépêcher de débattre!» «Trop pressé d'aller à la solution,
on risque de ne pas écouter l'autre.»