Lu ici :
"Des études montrent qu’il détermine dans une large mesure l'évolution du
caractère de bébé. Ainsi, les enfants élevés par leur maman seule
seraient moins sociaux. Souvent, les filles qui grandissent sans la
figure paternelle commenceront plus tôt leur puberté, auront plus vite
des relations sexuelles et risqueront donc aussi davantage de tomber
enceinte à l’adolescence. Quant aux garçons qui grandissent sans papa,
ils auraient moins confiance en eux."
Mince alors : Mme Taubira nous aurait menti ?
Laure 123
Alos il est urgent d’enlever leurs enfants aux mères célibataires, pour les confier a un papa et une maman! Et d’interdire l’adoption par des célibataires que ce destructeur de la société française qu’est de Gaulle a permis en 1966
werther
Hélas, quand cela a été dit haut et fort à l’Assemblée tout le monde, chez les ministres et à gauche, a pris cela pour de la rigolade. On voit le résultat !!!Et ce n’est pas fini.
HB
Elle, mentir ?
Je ne peux le croire !
Presqu’aussi improbable qu’une homme mari d’un autre.
Exupéry
Bien évidemment, et tout cela est connu depuis pas mal de temps !
Mais n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
L’idéologie socialiste est une maladie, non seulement de l’esprit, mais d’abord de l’intelligence.
Voici quelques citations éloquentes relatives aux apports essentiels du Père:
L’INDISPENSABLE RÔLE “SÉPARATEUR” DU PÈRE
– « Un cordon ombilical symbolique doit être coupé par le père. Le père est l’élément étranger qui apparaît comme une autre réalité, permettant à l’enfant de devenir un sujet distinct de sa mère et de ne pas continuer à vivre sous sa dépendance. » ; « De nombreux jeunes n’ont pas rencontré une réelle symbolique paternelle qui les aurait fait naître à eux-mêmes.» Mgr.T.ANATRELLA (Analyste)
– « C’est le père qui vient séparer cette relation fusionnelle [mère- enfant] et faire en sorte que cet ensemble mère-enfant devienne deux entités bien distinctes.» Alain HADDAD (Pédopsychiatre)
– [le rôle du père est de desserrer ] « l’étau de l’attraction maternelle dans l’exercice de la pensée. » [En effet, l’attachement maternel exclusif peut représenter pour l’enfant une cause de déficit psychique] René LALOUE (Pr. de Psychiatrie)
[ N.B. : Il ne faudrait pas s’imaginer que le père doit “arracher” la mère à l’enfant, et encore moins qu’il arrache l’enfant à sa mère. Le père est celui qui montre à l’enfant que son rapport étroit avec sa mère n’est pas la totalité de la réalité et qu’entre autres, son attachement à sa mère est le fruit d’un attachement antérieur, celui qui unit les parents dans leur amour. Encore faut-il que la mère ne remplace pas l’attachement à son conjoint par l’attachement exclusif à son (ses) enfants.] C’est ce que précisent ces deux citations :
– « Le père doit reprendre sa place [ ] et signifier à l’enfant que malgré tout l’amour que la mère porte à cet enfant, elle lui porte malgré tout [à lui le père] un amour antérieur au sien.» Alain HADDAD (Pédopsychiatre)
– « Le véritable facteur de séparation mère/enfant n’est pas le père, mais bien le désir du couple de se retrouver en dehors de l’enfant.» Guy CORNEAU (Psychanalyste)
LE PÈRE, FACTEUR DE DIFFÉRENCIATION SEXUELLE (évident, sauf pour quelques idéologues ou politiciens!)
– « Une mère qui fait la loi à la maison et obscurcit la relation au père, en limitant l’identification des garçons à la virilité paternelle, favorisera l’impuissance sexuelle ou l’homosexualité passive. »
– « Ce n’est que face au père que le garçon sera confirmé dans sa masculinité et que la fille pourra se féminiser.» Mgr. ANATRELLA (Analyste)
– « Garçon ou fille, l’enfant a besoin, pour la découverte de son identité d’un jeu subtil d’identifications et différenciations avec ses deux instances paternelle et maternelle.» Xavier LACROIX (Philosophe)
– « L’apparition du père dans l’espace psychique du jeune enfant va lui permettre d’acquérir les premiers éléments de sa personnalité. »
– « La mère peut empêcher le père de jouer son rôle, elle risque d’en faire alors son enfant dans cette bulle fusionnelle, de l’empêcher d’évoluer, de s’individualiser. Cette attitude peut entraîner l’enfant dans des développements pathologiques : évolution vers des psychoses infantiles ou adultes, des comportements [divers] (kleptomanie, sadisme, masochisme, etc.)» Alain HADDAD (Pédopsychiatre)
– « L’absence du père signifie automatiquement une influence accrue de la mère […] l’effet immédiat est qu’en ce qui concerne leur identité sexuelle, les fils demeurent des colosses aux pieds d’argile. »
– « Les recherches démontrent que les fils qui n’ont pas reçu de “paternage” adéquat sont plus enclins à devenir homosexuels que les fils qui ont eu des pères présents.» Guy CORNEAU (Psychanalyste)
LE PÈRE OUVRE AU MONDE RÉEL : C’est-à-dire au Principe dit “de réalité” lequel s’oppose au Principe “du plaisir” dont le propre est “de se satisfaire par l’hallucination” (Jacques Lacan psychanalyste, dixit )
– « Il incombe au père de faire prendre conscience au petit enfant qu’il existe des réalités en dehors de la sienne propre.» Aldo NAOURI (Pédopsychiatre)
– « Le père se situe en médiateur entre l’enfant et la réalité, son rôle étant de l’introduire dans le réel, ce qui favorise l’éveil du rationnel et du sens des relations extérieures. »
– « Il ne suffit pas […] que la mère travaille pour croire qu’elle peut introduire la réalité extérieure à l’instar du père. »
– « L’espèce de “matriarcat” social et éducatif [actuel] débouche sur une véritable perte de contact avec la réalité et favorise la formation de personnalités narcissiques […voire] incapables de distinguer le virtuel du réel. » Mgr. ANATRELLA (Analyste)
– « Le père est l’intermédiaire entre le foyer et le monde. Son métier est un métier d’éducateur : ” Il fait comprendre les rouages de la cité, le jeu de la civilisation”. » Evelyne SULLEROT (Sociologue) citant : Roger PONS (Philosophe)
LE PÈRE INTRODUIT AUX EXIGENCES STRUCTURANTES DU TEMPS
– [ l’enfant-roi est ] : « un enfant jamais né parce que sa mère, à force de créer autour de lui un utérus virtuel […] à force de le maintenir dans le “non-temps utérin”, annule pour lui la dimension du temps. »
– [malheureusement] « le “nouveau père” [ ] contribue à l’entretien de cet utérus virtuel, [alors, qu’au contraire] : il incombe essentiellement au père d’introduire l’enfant dans la dimension du Temps. » Aldo NAOURI (Pédopsychiatre)
– « La mère est pour l’enfant un espace de vie relativement atemporel, cyclique, fait de constantes et des répétitions sécurisantes de la durée. Le père apporte une dimension temporelle linéaire, structurante, exigeante, ouverte sur le devenir et ses enjeux. C’est ce qui permet à l’enfant, de sortir de l’”indigente instantanéité” de la jouissance infantile, de faire des projets, de se fixer des buts, d’envisager sa responsabilité à long terme, de faire – et surtout de pouvoir tenir – des promesses, de hiérarchiser les urgences et donc les valeurs, y compris spirituelles. » [En effet, dans un monde cyclique il ne peut exister ni urgence capitale ni valeurs véritables. Lorsque l’on “tourne en rond”, il ne peut y avoir de but suprême à atteindre par des étapes successives. Le temps cyclique est celui du paganisme comme celui du métabolisme, c’est un temps qui “digère” et se “digère” lui même, ne laissant subsister aucun témoignage véritable. Au contraire, le temps du Christianisme est d’emblée linéaire, la vie y prend vraiment Sens, car elle devient une trajectoire, elle doit conduire à Quelqu’un de transcendant.] J.- Michel OLIVEREAU (Pr. de Psycho-physiologie)
– « Les fils qui n’ont pas reçu de “paternage” adéquat […] éprouvent souvent des difficultés à assumer des valeurs morales, à prendre des responsabilités et à développer un sens du devoir et de leurs obligations envers autrui. »
– « Un individu qui possède un complexe paternel négatif, ne se sent pas structuré à l’intérieur de lui-même. Ses idées sont confuses. Il ressent des difficultés lorsqu’il doit se fixer un but. […]. Tout se mélange en lui… »
– « Il éprouve parfois des difficultés à se concentrer, se trouvant attiré par toutes sortes de détails périphériques et sans importances […].» Guy CORNEAU (Psychanalyste)
LE PÈRE INTRODUIT LA FONCTION SYMBOLIQUE CHEZ L’ENFANT
– « Le père donne accès au monde symbolique en se situant entre la mère et l’enfant. Il lui permet ainsi d’acquérir son autonomie psychique [… et] de se réaliser comme sujet.» Mgr. Tony ANATRELLA
– « C’est en lui désignant son père que toute mère introduit son enfant au monde symbolique. » A. NAOURI (Pédopsychiatre)
– « Le père qui s’occupe de son tout petit enfant provoque chez celui-ci un éveil plus rapide, plus de sociabilité, une maîtrise du langage plus précoce…»
– « Le père est un partenaire de communication, il procure un pont linguistique à l’enfant [allégoriquement un pont qui lui permet de sortir de l’”île” maternelle]. Ses spécificités participent à la construction du langage de l’enfant… » Jean LE CAMUS (Pr. de Psychol. de l’enfant)
– « Dans cet espace créé par l’apparition du père vont émerger les différentes formes d’expressions symboliques – le langage tout particulièrement – et permettre au jeune enfant de maintenir ce lien indispensable avec sa mère. » Alain HADDAD (Pédopsychiatre
LE PÈRE ET LA CHANCE D’AVOIR UN IDÉAL DANS SA VIE
– « Les hommes sont moins ambivalents et moins incertains quand ils ont vécu une bonne identification à leur père. » Mgr.ANATRELLA
– [ Le père est celui qui ] « donne à la fonction de sublimation sa forme la plus éminente et la plus pure. » Jacques LACAN
– « C’est du père au fils que s’opère la transmission de l’idéal.» Evelyne SULLEROT (Sociologue, féministe)
– « La voix du sang n’est puissante que chez la mère. Pour l’homme, les seuls vrais fils sont spirituels. » Henri de MONTHERLANT
– [au sujet des nouveaux pères] : « Plus leur convictions sont faibles et plus il leur sera difficile de diriger leurs enfants vers un certain modèle de vie., vers certaines perspectives d’avenir. » Alexandre DE WILLEBOIS (Pr. de Neurologie)
LE PÈRE DÉSIGNE LES CONTRAINTES ET LA LOI
– « Le père vient délivrer l’enfant du sentiment de toute-puissance qu’il projette sur sa mère. » [beaucoup d’enfants “gâtés” n’ayant jamais été confronté à la frustration, à l’échec de leurs désirs, se croient “tout-puissants” tout comme leur mère qui est l’agent principal de satisfaction de leurs désirs. Lorsque l’on se sent ainsi doublement assuré de son confort, on n’a que faire des impossibilités et des lois restrictives.] Mgr. ANATRELLA (Analyste)
– « Une carence paternelle est pratiquement toujours une carence d’autorité. Certains pères d’aujourd’hui, démissionnent devant cette tâche. Ils se veulent plus jeunes, plus avancés, plus libres, que leurs enfants. Et cela crée chez ces derniers de l’angoisse. » [qui induira à son tour de l’agressivité] Michel SOULÉ (Pédopsychiatre, analyste)
– « C’est surtout l’image du père qui est porteuse de l’interdit et de la loi… » Samuel LEPASTIER (Pédopsychiatre)
– « Chez les fils qui n’ont pas reçu de “paternage” adéquat […] l’absence de limites se manifestera tout aussi bien dans la difficulté d’exercer une autorité que d’avoir à la respecter.»
– « Ils sont plus susceptibles de développer des problèmes psychologiques : au pire ce sera la délinquance, la drogue et l’alcoolisme, le tout baignant dans une révolte sans fin contre la société patriarcale. » Guy CORNEAU (Psychanalyste)
– « Le rôle du père va aussi lui permettre d’intégrer les limites de ses désirs, de créer les premiers signes de la sociabilité. »
– « une défaillance de cette fonction paternelle peut entraîner [ ] une mauvaise intégration de tout ce qui a un rapport avec la Loi, avec l’autorité, les limites et l’acception de la volonté de Dieu. » Alain HADDAD (Pédopsychiatre)
Inutile d’aligner les citations démontrant le rôle de la mère, il est évidemment primordial!
JPR
Suis pas pédo psychiatre, sans doute que votre argumentaire est juste mais il reste partiel et partial et on s’en fiche en fait. Votre argumentaire est de toute façon même inutile et insultant vis-à-vis de la nature d’en arriver à se poser une question comme celle-là. Y a pas de question. Ou alors la question vaut depuis l’origine de l’homme. On est en train de tomber dans le panneau en opposant Hommen à Femen même si j’ai bien rigolé au début). Dans cette histoire féministes et hommes sont manipulés depuis le début puisqu’à terme c’est le neutre, le non genré, la polygamie et la polyandrie qui domineront. Le progrès n’est qu’une régression au nom du “libre choix”. Quant au distributeur de médailles de la famille, l’Etat, il n’est même plus crédible dans ce domaine. D’ailleurs, il n’essaie plus ni cela ni la légion d’Honneur, il distribue le prix de l’audace avec Jamel. Fraudez ici, je frauderais ailleurs. les LGBT veulent être les nouveaux riches d’un monde qu’ils se fabriquent. Nous en serons les pauvres et nous en profiterons car ils ne peuvent pas tenir la barre. On lâche la barre, ON LACHE LA BARRE et on la leur laisse. On en profite. Rassurez-vous, ce que je dis n’est pas immoral, ils font cela depuis des siècles tout en se plaignant ou en en profitant; let it be, laissez les argumentaires se développer, proliférer, dans moins de 10 ans, ils seront battus en brèche. Opposez-vous, ils se renforceront dans un combat d’idées dont vous serez les rétrogrades et eux les progressistes. Je ne dis pas de baisser les bras, je veux dire qu’argumenter c’est aujourd’hui combattre. montrer l’inanité du système. on vous dit que c’est un programme aussi novateur que l’abolition de la peine de mort ou le combat de Simone Veil. je vous dis non. C’est un pourrissement social qu’il faut laisser aller à son terme. Tout faire pour lez sortir de l’ombre, tout faire pour les laisser en pleine lumière. Oh, oui. Tout faire pour cela, pour le système public si bien orienté, pour D8 et son émission phare, C à vous et plein d’autres. Laissez-les être la culture. On ne peut pas limiter la culture ,à la culture homosexuelle et LGBT plus qu’on n’a pas pu la limiter à l’hétérosexuelle. Très vite, trop vite vont se manifester les dictatures. Déjà des garçons (mon seul exemple sexué) se roulent des pelles en cour de récréation devant leurs camarades, éducateurs ou profs – en 5e – Laissez aller, les gens verront où l’on va et où l’on est déjà. laissez les retours se faire via les cours de récréation, les récits faits aux parents. Chacun prendra ses responsabilités où il est. C’est déjà le problème puisque toute intervention est interdite. Puisque les textes législatifs existent. Puisque les textes d’Education nationale se construisent. Après la Loin TAUBIRA, j’ai bien dit TAUBIRA et la Loi PEILLON, j’ai bien dit PEILLON et leurs contenus, il y aura plus que des scories puisqu’il y a plus d’idéologie que d’intelligence. Laissez les finir, se finir en beauté. N’oubliez pas de noter le concours, que dis-je le concours, le supporting effréné des francs-maçons notoires, avérés, dévoilés. Jusqu’à ces jours-ci j’avais opté pour un mépris intellectuel mais ils veulent leur part du butin dans tout cela. Ayez la bonté de bien leur reconnaître leurs efforts. Ne produisez que les textes. Serrez les dents. Avant quatre ans, le climat aura changé car dans quatre ans il faudra réélire et certains commenceront à se dandiner du derrière comme pour leur promise (c’est aujourd’hui qu’il faut écouter, mémoriser. pas dans 4 ans). Tant que vous le pouvez, en revanche, tenez l’éducation, promouvez l’éducation (hors de l’Education) pour ne pas sacrifier une génération. Comme je l’ai déjà dit plusieurs fois, ceux qui n’ont pas soutenu les premières Manifs Pour Tous vont devoir assumer pendant une génération. Maintenant, reste la solution de partir dès aujourd’hui et je n’en voudrais à personne. En revanche, où aller ? Vrai problème.
maroussia
Rédigé par : Laure 123 | 13 juin 2013 21:36:59
“Alors il est urgent d’enlever leurs enfants aux mères célibataires, pour les confier à un papa et une maman! ”
Mais vous êtes complétement malade ! Comment osez-vous proférer de pareilles monstruosités !
L’enlèvement à la mode britannique ou australienne ?
Tant pis pour le point Godwin, mais les nazis étaient bons aussi à ce jeu là… en rafflant de jolis petits enfants blonds, bien sélectionnés, en Europe de l’Est pour les confier à “un papa et une maman”, SS de préférence.
Mais, finalement, vous avez sans doute raison. D’ailleurs on le fait déjà en France. Avec plus de 75 000 enfants placés enlevés à leur famille sans motif, ou sans chercher de solution alternative.
Vous êtes mariée ? Vous avez des enfants ?Vous êtes sûre de le garder votre mari ? Parce que les femmes seules, elles intéressent beaucoup l’Aide Sociale à l’Enfance…
Au cas où il prendrait un jour la poudre d’escampette, je vous souhaite une bonne petite dénonciation auprès de l’ASE… par une nourrice qui se venge après que vous vous soyez plainte que son mari fume dans la maison, ou un voisin qui ne supporte d’avoir des enfants dans l’immeuble ou qui jouent dans la rue, ou une institutrice paranoïaque qui signale tous les enfants avec un bleu…ou une puéricultrice de crèche qui dissimule sa faute d’avoir laissé des enfants sans surveillance pour une cigarette, en accusant la mère de la morsure faite durant son absence… Toutes histoires authentiques.
Un bon petit placement de l’enfant en famille d’accueil (mais vous en êtes sans doute?) , qui fait tout pour devenir famille adoptive sans se poser de question sur l’origine de l’enfant qu’elle contribue en fait à kidnapper…il n’y a que ça de vrai !
Rassurez-vous, ce ne sera qu’un emprunt, vous le rendra à 18 ans (si on n’a pas réussi à vous pousser au suicide ou à l’abandon), un peu cassé*…mais c’est pas grave !
Et alors là, je m’amuserai vraiment.
*rapport Piere Naves, IGAS 2006,
et aussi Rapport du Conseil de l’Europe, novembre 2012, Rapport de Défenseur des Droits de l’Enfant 2011…et autres)
Exupéry
Cher JPR,
Nous ne sommes pas “au spectacle”, ce naufrage n’a pas pour enjeu principal des élections dans quatre ans… mais, dés maintenant, le respect de l’innocence, la santé des esprits et le Salut des âmes.
panetier
Et pour dimanche :
A tous les hommes par nature,
Qui ont progéniture,
Bonne fête papa !
Ramah
Pendant que les Talibans affûtent leurs couteaux, les “mecs” chez nous pousent le landau.
Papon
Les evenements actuels ne sont que l’une des etapes dans le processus visant à la mise en servitude des peuples; ces derniers puisent leur force dans la notion d’heritage et, à cet egard il n’y a guère de difference entre l’heritage reçu du père et celui de la patrie.
Ce modèle a fonctionné pendant plus de deux mille ans sur l’exemple tiré de la figure du pater familias romain, modèle qui a fondé la société européenne et qui a proposé une société capable de resister victorieusement à toutes les epreuves pendant 1200 ans pour Rome et 1000 ans de plus pour Constantinople.
Ceux-là même qui qui ambitionnent de regner sans partage sur un peuple mondialisé savent bien qu’il est essentiel de detruire pan par pan tous les obstacles qui s’opposent à leur monstrueux projet, la destruction de la cellule familiale en est une etape essentielle; c’est là tout l’enjeu des affrontements auxquels nous assistons.
maroussia
Papon,
Excellent !
Yvon
“Notre Père qui es aux cieux”
Le père spirituel est l’image exemplaire pour le père terrestre, le père de famille. Le Père céleste a créé l’homme à son image. Les attaques contre le père sont l’oeuvre du Malin. Le mariage pour tous est un exemple de ces attaques contre le père terrestre, image du Père céleste.
Aliéna
@Laure 123 : mais ça va pas?!
Aux enfants qui souffrent déjà de l’absence d’un père vous voulez en plus leur arracher l’amour maternel?
Vous n’êtes pas maman c’est impossible!
Que faites-vous des veuves? Leur mari décède et en plus il faudrait leur retirer leurs enfants, souvent la seule raison de vivre qu’il leur reste! mais bien sûr! Je suis sidérée par vos propos! Réfléchissez avant d’écrire!
Guillaume
@ Laure
Comment osez-vous prôner l’enlèvement des enfants aux mères célibataires ? L’idéal est d’avoir une père et une mère unis ; mais il peut exister des accidents de la vie qui font qu’un enfant voit ses parents séparés. Il n’y a rien de plus tragique que de priver un enfant du parent qui lui reste !
Niko
la fin de cet article arrive à la même conclusion : http://bibliobs.nouvelobs.com/en-partenariat-avec-books/20130531.OBS1521/pourquoi-les-garcons-sont-moins-forts-que-les-filles-a-l-ecole.html#xtor=EPR-1-%5BHebdo%5D-20130614
Olivier
Une fille sans père couche plutôt et donc avorte. C’est bon pour le PS, c’est tout.
Non
pas d’accord sur cette assertion : Une fille sans père couche plutôt “, alors pas du tout.
Le manque de père est une catastrophe pour la psychologie de l’enfant, mais cela se traduit à mon sens autrement :
perdu mon père dans un accident à l’âge de 6 ans, grandi avec une mère très possessive, surprotectrice et envahissante (pour elle c’était de l’amour)et, n’ayant aucun référentiel masculin à la maison, j’ai eu plutôt peur des garçons- une espèce non familière, inconnue. Donc pas de copain à l’adolescence, crainte des hommes, malaise. attirance plutôt vers les hommes plus âgés, car recherche du père constante. Mariage. En même temps presque une révulsion du trop plein féminin, donc après 20 ans+ plutôt exclusivement amitiés masculines (bien amitiés: collègues masculins au travail, plutôt que copines), le rejet de la présence féminine trop proche.
Cela témoigne aussi à quel point leur loi est scélérate, imaginez s’il y avait DEUX mères ? J’en éprouve pratiquement un dégoût physique, rien que d’y penser, et encore aujourd’hui, alors que les années ont passé.