D’hallucinantes expressions, en même temps débiles et provocatrices, ont jalonné de loin en loin depuis son élection le pitoyable cursus idéologique d’Emmanuel Macron.
Tout le monde se souvient de l’énormité proférée lors de son voyage à Alger le 14 février 2017 sur la chaîne de télévision « Echourouk news » :
« La colonisation, c’est un crime contre l’humanité ».
À peu de temps de là, il lança la débile provocation :
« La culture française, ça n’existe pas ! ».
Monstrueux négationniste de l’exterminationnisme maoïste, ce « progressiste » fit un autre jour une profession de foi marxiste-léniniste en déclarant :
« Je suis maoïste, un bon programme, c’est ce qui marche »,
n’ayant semble-t-il nul souvenir des dizaines de millions de morts de la campagne des cent fleurs et de la révolution culturelle.
Et ne voilà-t-il pas qu’il vient encore d’atteindre ces derniers jours un sommet de perversion nihiliste en allant exprimer sur la chaîne de télévision américaine CBS son projet, digne des Gardes Rouges maoïstes, de « déconstruire notre propre histoire ».
C’est d’ailleurs ce à quoi s’emploient avec constance tous les « déconstructionnistes » de toute l’intelligentsia de la culture de mort en matière d’histoire.
Mais que le premier personnage de la République puisse se gargariser sur une chaîne étrangère d’une pareille volonté de « déconstruction » « de notre propre histoire », voilà qui en dit long à la fois sur sa perversité idéologique et sa médiocrité intellectuelle.
Cela n’a rien à voir avec une volonté d’œuvrer pour essayer d’atteindre plus de vérité, de procéder aux révisions qu’entraînent les recherches et les études.
On sait ce que signifie l’idéologie de la « déconstruction », ce mot d’intello pour ne pas dire « destruction ».
Mais aujourd’hui, c’est bien le mythe progressiste du personnage Macron, ce morbide naufrageur de la France, qu’il faut déconstruire !