Partager cet article

Culture de mort : Avortement

Le président Trump affirme que tuer des bébés lors d’avortements constitue une violation des droits de l’homme

Le président Trump affirme que tuer des bébés lors d’avortements constitue une violation des droits de l’homme

Pour la première fois de son histoire, le gouvernement des États-Unis a courageusement qualifié l’avortement comme une violation des droits humains. Le 20 novembre 2025, le Département d’État a adressé un télégramme diplomatique à toutes les ambassades et consulats américains. Ce télégramme contient des instructions précises exigeant que les diplomates qui établissent les rapports annuels par pays sur les pratiques en matière de droits de l’homme consignent deux informations essentielles pour chaque pays :

  1. si les gouvernements subventionnent les avortements ou les médicaments abortifs avec l’argent des contribuables,
  2. le nombre total estimé d’avortements pratiqués chaque année dans ce pays.

Ces exigences classent l’interruption volontaire de grossesse parmi les atteintes les plus graves à la dignité humaine. L’administration Trump affirme sans hésiter qu’aucune nation ne peut financer le massacre d’enfants innocents à naître et conserver sa crédibilité en matière de droits humains.

Cette initiative va bien au-delà de la simple collecte de données. Elle met en lumière les gouvernements qui contraignent leurs citoyens à financer l’avortement par le biais de paiements directs, de programmes de santé publique ou de programmes d’aide. Elle révèle une vérité crue : certains pays se vantent de leurs avancées en matière de « droits reproductifs » tout en ôtant la vie à des centaines de milliers, voire des millions d’enfants chaque année.

Les ambassades du monde entier mènent désormais des enquêtes et des entretiens sur le terrain. Le Rapport sur les droits de l’homme 2025, dont la publication est prévue l’année prochaine, révélera toute l’ampleur de cette tragédie. Alliés et adversaires sont soumis à un examen sans concession. Les diplomates n’éludent plus la question de l’avortement par des termes vagues, tout en détaillant d’autres horreurs.

Carol Tobias, présidente de National Right to Life, a exprimé avec éloquence l’importance de ce moment :  

« La directive courageuse de l’administration Trump visant à dénoncer les avortements d’État à travers le monde constitue une victoire décisive pour le caractère sacré de la vie. En qualifiant la destruction des enfants à naître de violation des droits humains dans nos rapports internationaux, le président Trump et le secrétaire Rubio donnent la parole aux sans-voix et incitent les nations à faire face aux effusions de sang qu’elles permettent. National Right to Life est prête à soutenir cette prise de conscience morale, tout comme nous avons salué la défense inébranlable de la vie prénatale par l’administration dès le premier jour. »

Le porte-parole adjoint Tommy Pigott a fait écho à cette position :  

« L’administration Trump ne laissera pas impunies ces violations des droits de l’homme, telles que les mutilations d’enfants, les lois qui portent atteinte à la liberté d’expression et les pratiques d’embauche discriminatoires sur le plan racial. Trop, c’est trop. »

Trop, c’est trop. Pendant des décennies, les fonds américains ont permis le développement de l’avortement à l’échelle internationale. Aujourd’hui, une ère nouvelle se lève. 

Partager cet article

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services