Le président tunisien Kais Saied a demandé mardi 21 février des «mesures urgentes» contre l’immigration clandestine d’Africains subsahariens dans son pays, affirmant que leur présence était source de «violence et de crimes». Sic.
Kais Saied a présidé une réunion du Conseil de sécurité nationale
«consacrée aux mesures urgentes qui doivent être prises pour faire face à l’arrivée en Tunisie d’un grand nombre de migrants clandestins en provenance d’Afrique subsaharienne».
Lors de cette réunion Kais Saied a dénoncé l’arrivée de «hordes des migrants clandestins» dont la présence en Tunisie est source de «violence, de crimes et d’actes inacceptables», insistant sur «la nécessité de mettre rapidement fin» à cette immigration. Il a soutenu que cette immigration relevait d’une
«entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la Tunisie».
Du Zemmour dans le texte ?
«Ceux qui sont à l’origine de ce phénomène font de la traite d’êtres humains tout en prétendant défendre les droits humains».
Qu’en pense SOS Méditerranée ?
Une vingtaine d’ONG tunisiennes ont dénoncé la montée d’un «discours haineux» et du racisme à leur égard ; les ONG ont appelé les autorités tunisiennes
«à lutter contre les discours de haine, la discrimination et le racisme envers eux et à intervenir en cas d’urgence pour garantir la dignité et les droits des migrants».
Le Maroc connaît également une vague de violences en raison de l’immigration subsaharienne, comme le montre cet hebdomadaire du mois de janvier :
🇲🇦 – Le Maroc est complètement désemparé face aux migrants #subsahariens qui #détruisent et saccagent tout sur leur passage ; le Maroc se retrouve dans la même situation que l'#Irlande & le Royaume-Uni en terme de submersion #migratoire, la tension est à son comble […] pic.twitter.com/G2h8l6IGi2
— Odette z (@Jeanesauvenous) February 13, 2023
Meltoisan
“En même temps”, il faut interdire à la France d’avoir des frontières, il faut accueillir des migrants, les répartir dans nos villes et villages, leur construire des mosquées … et des lieux d’échange, surtout la nuit, aux périphéries des grandes villes.
Le Maroc et la Tunisie commenceraient donc eux-aussi à faire un constat sur le sujet. Mais quid de la Lybie (que la France a maltraitée) et de l’Algérie (où notre Président pratique une repentance injustifiée mais jamais suffisante) ? Sans parler de la Turquie qui, paraît-il, fait partie de l’OTAN et demande à reioindre l’UE pour transformer les cathédrales en mosquées.
AFumey
Si on fait le lien avec le meurtre récent de St Jean de Luz, et d’autres affaires similaires, on est contraint de donner corps à la thèse de ce lecteur (https://lesalonbeige.fr/assassinat-de-saint-jean-de-luz-et-le-satanisme-dans-une-civilisation-post-chretienne/).
Conséquence: les cris de protestation (“discrimination”, “discours de haine”, “racisme” et autres “extrême droit-“isation) semblent venir de personnes impliquées – consciemment ou non – dans ce courant sataniste. En particulier la gauche française semble en être particulièrement imprégnée, malgré les quelques personnes intègres qui y croient: simples figurants, en voie de raréfaction, pour masquer la véritable nature de ce courant?
philippe paternot
le président tunisien a copié zemmour