Le Cardinal Barbarin est interrogé dans La Nef, un an après l’entrée en vigueur du Motu Proprio sur la forme extraordinaire du rite romain (14 septembre). Extraits :
"La grande question, c’est de savoir où le Saint-Père veut aller. Il a plusieurs fois laissé entendre qu’il était temps de reprendre en profondeur la réforme liturgique, comme on revoit maintenant de près la traduction de la Bible. Le maintien de la forme extraordinaire dans la vie liturgique de l’Église aidera à ce travail. Nous avons le recul suffisant pour faire un bilan des progrès apportés par le nouvel Ordo et des richesses de l’ancien qu’il ne faudrait pas perdre. C’est ainsi que les deux formes pourront s’enrichir mutuellement."
MJ
simocol
MAGIFIQUE et MAGNIFICAT