Dans le dernier Daoudal Hebdo, on trouve la traduction d'un article du magazine The new American, de janvier 2000. Il s'agit d'un entretien du Dr S. Fred Singer, à propos de son livre : Hot talk, cold science (Global warming!s unfinished debate) [les propos sont chauds, mais la science est froide (le débat inachevé sur le réchauffement climatique)]. Fred Singer fut l'un des principaux artisans du développement de l'observation de la terre par satellite. En 2000, il était professeur à l'université de Virginie et à l'Institut des sciences et technologies spatiales en Floride, et président (il l'est toujours) du Programme de politique scientifique et environnementale qu!il avait créé en 1990 à Washington. Dans cet entretien, on apprend que les falsifications opérées par les scientifiques du GIEC ne sont pas une nouveauté : le premier rapport, le rapport qui a servi de base à ceux qui ont suivi, était déjà falsifié. En voici la conclusion :
"Le gros problème de l’environnement, à mon avis, est celui des « déchets solides », une expression bien comme il faut pour désigner les ordures. Dans de nombreuses régions du pays on trouve difficilement des endroits convenables pour des décharges. Certains Etats cherchent à les envoyer dans d’autres Etats. Les élus essaient d’interdire de jeter les boues dans les océans. Et si vous les enfouissez, elles peuvent polluer les nappes phréatiques. Cela, c’est un vrai problème. Mais personne ne semble s’y intéresser. Cela n’interpelle pas les hommes politiques, parce que les hommes politiques paraissent aimer les problèmes globaux qui sont plus séduisants que les ordures…
Dans dix ou vingt ans, les jeunes gens regarderont leurs parents et grands-parents avec incrédulité et leur demanderont : «Ça alors! Est-ce que vous vous inquiétiez vraiment du réchauffement climatique et du trou de la couche d’ozone?»"
La couche d'ozone, on ne s'en inquiète plus. Quant au réchauffement climatique du à l'homme, la mise à jour des falsifications devrait en dégonfler prochainement la baudruche.
Robert
Tout le monde parle des ordures en France (voir le récent rapport de l’Ademe) sauf peut-être ceux qui ne se risquent guère dans les questions écologiques.
[Avec le lien c’est mieux :
http://www2.ademe.fr/servlet/getBin?name=E346A46133A9841D9146C8C2502932231239186037078.pdf
Mais dire que “tout le monde” en parle, je n’irai pas jusque là. Tout le monde parle du réchauffement-global-du-à-l’homme, mais tout le monde ne parle pas des déchets. MJ]