Sur son blog dédié à l’actualité des institutions européennes, notre confrère Henri Védas rapporte l’analyse du think thank conservateur américain Heritage Foundation :
"En mars 2000, l’Union européenne a fièrement annoncé qu’elle deviendrait pour 2010 l’économie la plus dynamique et la plus compétitive basée sur le savoir, avec le plein emploi et une croissance annuelle de 3 pour cent. En 2005, elle admettait son échec lamentable, avec des taux de croissance prévisionnels médiocres et des baisses négligeables du chômage. […]
La réglementation de l’activité est un énorme frein à la création de richesse. Le corpus légal actuel de l’UE – l’acquis communautaire – a un coût estimé, pesant sur l’activité, de 600 milliards d’euros par an."