Nous le signalions hier : la pauvreté touche d'abord les familles détruites. Aujourd'hui, c'est Libé qui le reconnaît, un peu à contre-coeur :
"On a du mal à le croire, à l’admettre, tant cette affirmation ressemble à une posture morale, mais les chiffres sont têtus. […] L’explication est relativement simple : le couple, c’est souvent deux apporteurs de revenus et des charges fixes divisées par deux (loyer, chauffage, électricité, gaz, téléphone fixe, voire voiture). […] La preuve donc par les familles monoparentales, dont près du tiers ont des ressources qui les situent en dessous du seuil de pauvreté."
Addendum 10h20 : le cardinal Ennio Antonelli, président du Conseil pontifical pour la famille, a annoncé que
"Le Conseil pontifical pour la famille étudie la possibilité d'encourager, dans plusieurs pays, des recherches sur les bienfaits sociaux apportés par la famille, afin de sensibiliser l'opinion publique et politique à la soutenir"
Il a écrit récemment que
"la famille saine produit des ‘bienfaits' : les enfants, dont dépendent l'avenir de la société, une vie satisfaisante pour tous ses membres, l'éducation à l'amour et aux multiples vertus humaines et sociales, la transmission de la langue, du patrimoine culturel de la nation, de la foi religieuse […] contrairement à la famille malade, incomplète ou désagrégée, à laquelle sont imputables des dommages sociaux comme la baisse des naissances, la marginalisation des plus faibles, l'insécurité, la dépression, le caractère querelleur, les déviances, la conflictualité […] il semble vérifiable que les familles saines contribuent à créer des biens relationnels et économiques et donc à encourager cohésion et développement […] Il est donc d'intérêt public que la famille soit fondée sur le mariage et soit stable".
VD
Atterrissage dans le monde réel !
Pauvres bobos… mais ils devraient appeler Ségolène et faire repentance pour avoir diffusé une idéologie pernicieuse et entraîné de pauvres gens dans le malheur.
lol
C’est pas l’atterrissage, c’est juste l’approche….
Sancenay
ne tirez pas sur ces bobos qui font un effort d’honnêtté intellectuelle: ils ont bien davantage de mérite que des hobereaux ( vrais ou faux) qui se mettent la tête dans le sable et font du relativisme leur babillage quotidien.
Sancenay
bien sûr , la famille, c’est la Vie .le Combat pour la Vie, passe nécessairement par la famille.La famille c’est aussi une perspective de démographie dynamique et partant d’économie de croisssance ,et non pas de décroissance malthusienne comme c’est le cas aujourd’hui.
C’est en quoi les irresponsables politiques qui prétendent redresser l’économie sans remettre en cause les politiques de dénatalité qu’ils ont subventionnées avec nos impots nous mentent
Ils trahissent ainsi implicitement leur seul objectif clairement annoncé dans les clubs obscurs autorisés à penser pour nous: être, avec leurs commanditaires, moins nombreux pour se partager le gateau.
Seuls méritent d’être sauvés de la débâcle qui s’annonce pour eux ceux qui en effet ont envers et contre tout défendu et la Vie et la famille.Ils sont très peu nombreux.
Rien n’empêche cependant les autres d’ouvrir enfin les yeux.La crise que nous traversons les y invitent une dernière fois.
tol
On a du mal à croire qu’ils aient du mal à le croire; ainsi les postures morales issues de l’expérience des anciens auraient un fondement véridique, ce doit effectivement être très dur à avaler pour eux.
Foubert
Quand ? mais quand donc Libééé disparaîtra ?
Gandulf
“Les faits sont têtus” … serait-ce le début d’une prise de conscience du monde réel par les idéologues en peau de lapin ? On tremblerait presque à l’idée du sort qui sera réservé au journaliste qui a osé écrire cela dans la Pravda des bobos parisiens. Sera-t-il licencié pour faute grave sans indemnité de licenciement ?
trahoir
@ Sancenay, => j’adhère au premier post, à l’autre aussi, mais le premier remarque bien qu’on n’est jamais trahi que par les siens.
Le mot “trahison” est certes fort mais il peut vouloir dire plusieurs choses.
“La tête dans le sable”, c’est bien ça….
Sancenay
à trahoir;
merci à vous