Selon Le Monde, le grand remplacement serait une théorie complotiste. Pourtant, dans un article sur le collège Simone-Veil de Montpellier, on peut lire :
à la rentrée prochaine, tous les élèves de CM2 du Petit Bard devront s’inscrire au collège Las Cazes, à un kilomètre du quartier. Mais l’établissement, en sous-capacité, souffre d’une image peu flatteuse, contrairement au collège François-Rabelais, plus au nord, où la plupart des parents du secteur préfèrent envoyer leurs enfants. Ce dernier est surtout plus mixte, en comparaison de Las Cazes, fréquenté à 95 % par des élèves d’origine marocaine venant du Petit Bard. « Nous ne voulions pas que nos enfants se suivent de la maternelle à la fin du collège, sans découvrir la culture de l’autre et le vivre-ensemble, sans mélange ni ouverture », dénonce Fatima.
Un établissement fréquenté à 95% par des élèves d’origine marocaine, qu’est-ce donc si ce n’est un remplacement démographique ?