Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue Reconquête, communique :
Ce jeudi 16 décembre 2021 au Mans, dans les locaux de l’association Homogène (centre LGBT 72) Marlène Schiappa, ministre délégué à la citoyenneté, a présenté à la presse les nouveaux formulaires Cerfa (imprimés administratifs) qui, a-t-elle dit, comporteront à partir du printemps 2022 « à deux reprises la mention « père – mère » (à la place de « parent 1 – parent 2 » !). « Parce que, a expliqué celle qui ne s’est point cachée d’avoir pratiqué la sorcellerie, les enfants ont le droit d’avoir deux papas ou deux mamans » (sic !).
Elle a poursuivi : « Ce nouveau formulaire prendra en compte la diversité des familles ».
Qui ne le voit, avec le gouvernement Macron-Schiappa, l’idéologie déconstructionniste de la famille atteint ainsi ses objectifs ultimes de révolution anthropologique : la destruction même du couple humain de l’homme et de la femme comme essence de l’humanité depuis ses origines.
La diversité de la famille ainsi revendiquée n’est évidemment que celle de sa fin programmée par l’atomisation du couple humain, cellule fondamentale de la société.
Au même moment, la légalisation de la possibilité de supprimer par IVG la vie des enfants à naître vient d’évoluer vers une forme encore plus cruelle de meurtre, relevant désormais, avec l’allongement de la durée légale de l’avortement, d’un véritable infanticide.
Cela, il est vrai, ne choque pas de soi-disant écologistes ne craignant de prôner la sacralité de la nature et de la vie sauf celle de la nature humaine, de la vie humaine.
Mais voilà que la barbarie du « meilleur des mondes macronéronien » va maintenant s’étendre, si le peuple ne réagit pas, à l’obligation dictatoriale, totalitaire, de faire vacciner les enfants.
Alors que l’on sait d’une part que ces derniers ne sont pas menacés par le covid ou dans une proportion infinitésimale ; de l’autre, qu’ils sont proportionnellement bien plus atteints par des effets secondaires graves, voire mortels, des vaccins administrés.
Mais l’argument odieux de la dictature sanitaire, c’est qu’il faut coûte que coûte prémunir les adultes de ce que pourraient leur transmettre des enfants nullement symptomatiques, nullement menacés.
Ajoutons enfin que dans la dernière de ses innombrables émissions de longue complaisance narcissique, le président Macronéron a manifesté une fois encore sa faculté de déni de réalité de la tsunamigration-islamisation, troisième dimension du génocide français : spirituel, culturel, intellectuel et moral, et enfin populicide par la conjugaison de la dénatalité organisée et de l’immigration planifiée.
La survie de la France passera ce prochain printemps par le départ de Micronéron.