Il a été défini par le père Aurelio Mozzetta lors d’une table-ronde organisée par le Conseil pontifical pour la pastorale des services de la santé : préserver son identité, la conception de l’homme et apporter la valeur ajoutée du christianisme.
"[offrir] un service religieux ponctuel et minutieux ; d’offrir aux malades une attention et une qualité d’accueil, conforme à une ‘philosophie chrétienne’ explicite de la santé […]
Nous ne voulons pas être assimilés à ceux qui font de la santé une marchandise : à parité de prestations, objet de libre concurrence, les services de santé catholique doivent se caractériser par la vision qu’ils ont de l’homme et de l’homme malade […]
[D]ans le respect de la liberté religieuse et de la liberté de pensée, personne ne saurait nous demander de renoncer à notre conception de l’homme et de Dieu, ni de contredire notre identité ecclésiale, ni d’exercer des avortements ou de pratiquer l’euthanasie".