Une étude (47 pages, pdf) montre que les avortements ont baissé de 15% aux États-Unis grâce au support de lois qui demandent une implication des parents avant que les enfants mineurs n'optent pour cette possibilité. D'où l'importance du 3e point non négociable dans une politique pro-vie : la liberté éducative des parents. Le Family Research Council souligne que cette recherche met en nette évidence le fait que
"les restrictions au financement de l'avortement, les lois sur l'implication des parents et celles sur un consensus informé, entrainent une baisse concrète du pourcentage des avortements".
"c'est un parent et non un employé gouvernemental ou une institution, à avoir le plus à cœur le bien être de la jeune filleé […] nous soutenons avec force les lois qui réaffirment le rôle unique des parents comme 'preneurs de décision' dans la vie de leurs enfants".
"Les autorités politiques peuvent parler de réduction des taux d'avortements, mais si elles veulent vraiment l'obtenir elles doivent soutenir la législation qui engage les parents et retirer les financements à des organisations comme Planned Parenthood qui pratiquent ou encouragent les avortements".
ID
“En face”, ils vont vous dire que vous êtes vraiment abominables, à mettre ainsi sous votre coupe vos filles (et garçons) en les empêchant de vivre librement.
En tout cas, vivement que ce courant américain traverse l’Atlantique !
Antoine Vaudey
Hélas, il y a aussi des parents qui emmènent leur fille à la clinique sans même le conseil du PF.
deniserp
Hélas, j’ai bien peur qu’une chose comme celle là n’arrive qu’aux Etats-Unis. En France, la culture de mort semble trop présente. Il faudrait réellement pour éviter cela réinstaller d’abord une culture de vie. Après, on peut voir ce qu’on peut faire.0