Le Congrès du Salvador a rejeté mercredi par 73 voix contre 11 la dépénalisation de l’avortement en cas de danger de mort pour la mère, d’anomalie fœtale menaçant le pronostic vital, ou de viol.
Les députés du Bénin ont adopté la légalisation de l’avortement jusqu’à 12 semaines « lorsque la grossesse est susceptible d’aggraver ou d’occasionner une situation de détresse matérielle, éducationnelle, professionnelle ou morale » de la femme.
La loi a été adoptée à l’unanimité des députés présents et représentés. C’est pourtant le président de cette Assemblée qui, il y a quelques jours, s’était fermement prononcé contre l’avortement. Mardi, les évêques avaient lancé un appel pour dire non.