Dans La Sainte Eucharistie, sacrement de l’amour divin (déjà évoqué ici et ici), le cardinal Burke écrit notamment :
"La participation à la Sainte Eucharistie exige que nous portions témoignage à la vérité et à l'amour que le Christ nous enseigne. La responsabilité de donner un témoignage public de notre foi est tout spécialement grave pour ceux "qui, par la position sociale ou politique qu'ils occupent, doivent prendre des décisions concernant les valeurs fondamentales, comme le respect et la défense de la vie humaine, de sa conception à sa fin naturelle, comme la famille fondée sur le mariage entre homme et femme, la liberté d'éducation des enfants et la promotion du bien commun sous toutes ses formes." Le Saint-Père s'adresse en particulier aux hommes politique catholiques, qui, en vertu de leur communion avec le Christ dans la Sainte Eucharistie, doivent promouvoir et soutenir des lois qui respectent la loi naturelle inscrite par Dieu dans chaque coeur humain. Nous sommes témoins du scandale causé par les hommes politiques catholiques qui se présentent pour recevoir la Sainte Communion et qui, en même temps, soutiennent régulièrement la législation qui viole la loi morale naturelle – par exemple, la législation qui permet l'avortement, le clonage humain, la recherche avec les cellules souches d'embryons, l'euthanasie ou "le suicide assisté", le mariage dit "mariage de personnes du même sexe", et autres violations des droits humains fondamentaux."