D’Albéric Dumont, vice-président du Syndicat de la famille :
Le Syndicat de la Famille est attaqué de toutes parts parce qu’il dérange les projets des militants et des idéologues qui veulent décerveler nos enfants, déconstruire la famille et la société.Alors qu’elle tenait une banderole devant le siège de l’Académie d’Aix-Marseille afin d’interpeller le Recteur sur l’éducation sexuelle à l’école, Virginie Merlin, militante du Syndicat de la Famille, a été violemment insultée et agressée par Léo T., fonctionnaire de l’Education nationale. Malgré sa triple fracture du nez, Virginie nous a assuré qu’elle ne lâcherait rien et, au contraire, qu’elle était d’autant plus déterminée à agir avec Le Syndicat de la Famille ! Ludovine de La Rochère et notre équipe de Marseille entourent Virginie et, bien sûr, Le Syndicat de la Famille prendra en charge ses frais d’avocat.
Quelques jours plus tôt, une attaque d’un autre genre est venue des députés LFI : le parti d’ultra gauche woke a en effet déposé un projet de résolution en vue de la création d’une Commission d’enquête parlementaire à l’encontre, en particulier, du Syndicat de la Famille. Leur objectif : intimider et nuire. Et leur reproche : « Les mouvements conservateurs anti-choix et agissant dans le champ de la parentalité et de la famille », au premier rang desquels Le Syndicat de la Famille,
« ont su se renouveler, avec de jeunes militant·e·s formé·e·s (sic) au plaidoyer, aux techniques de communication et à la prise de responsabilité politique (…) Ils veulent gagner l’opinion publique à leur projet de société. (…) Ils défendent la famille et l’occident chrétien » et combattent « l’éducation à la sexualité, les droits des personnes LGBTQI+, et plus précisément des personnes trans, et l’euthanasie. »
Et juste avant, nous avions eu droit à une longue campagne de dénigrement médiatique, tout élu supposément proche de nous étant prétendument indigne d’accéder au pouvoir, comme Laurence Garnier, que le Premier ministre a renoncé à nommer ministre de la Famille. Une pression évidemment destinée à faire peur et réduire au silence toute opposition aux revendications LGBT-woke.
Tout cela s’ajoute aux contraintes, empêchements et restrictions qui compliquent considérablement la possibilité d’être soutenu financièrement pour conduire nos actions : comme vous le savez, notre association s’est vu refuser le statut d’intérêt général, au contraire de toutes les associations LGBT !
Irishman
Ces malades mentaux de la gauche radicale veulent nous refaire le coup de la 2de république espagnole…
Le problème est que je ne vois pas de Franco français !
Bernard Mitjavile
En tout cas, les tracts de LSF sur “l’éducation sexuelle” en primaire sont bien faits et factuels, le manque de contre-arguments des milieux LGBT explique peut-être qu’ils passent à la violence.
Vladu
Au nom de quoi l’État peut-il refuser le statut d’intérêt général au “Syndicat de la famille” ?
C’est du totalitarisme pur.
Dans une vraie démocratie, tous les médias, de droit comme de gauche, devraient dénoncer ce scandale.
(Mais dans notre République maçonnique totalitaire, on va sans doute envoyer les propagandistes officiels du Service public, notamment les sinistres hommes de main de “Complément d’enquête”, pour dénoncer… le Syndicat de la Famille !
Cela apparaît énorme, mais, contre les dissidents, tout est permis.
Et en payant, on trouve toujours des propagandistes sans foi ni loi pour faire le sale boulot !
Garde67
À longueur d’articles, nous dénoncent à juste raison l’état de décomposition de notre société et de notre civilisation.
Tous ces faits que nous évoquons, instruction sexuelle à l’école, pornographie en libre-service sur les portables, violences sexuelles, coups de couteaux, etc ont une source commune : le péché originel. C’est ce péché qui a gravement perturbé la sexualité. “L’os de mes os, la chair de ma chair” et devenu “La femme que tu m’as donnée, c’est elle qui m’a donné du fruit de l’arbre et j’ai mangé” (Genèse).
La confiance initiale, la communion des corps ont été rompus à cause du péché. La jalousie, a entraîné le divorce et le premier meurtre celui de Caïn, tuant son frère Abel, dit le juste.
La haine et la violence, sous toutes ses formes, qui s’amplifient sont les conséquences directes de ce mal originel.
Il est fort dommageable que l’Église, elle-même, s’abstienne de parler du péché originel, afin de nous aider à en atténuer les répercussions.
On peut, à longueur de commentaires, critiquer les auteurs du mal, mais cela ne résoudra pas les problèmes graves que nous évoquons.
En revanche, une mobilisation des consciences est plus que prioritaires. Chacun a cette conscience au fond de soi : celle qui permet de distinguer le bien du mal, le vrai du faux, le laid du beau.