Dans un article complaisant, le Figaro fait la promotion du Planning familial, qui déclare :
"la sexualité reste un tabou et on croit encore que les femmes doivent souffrir quand elles avortent."
Mais rien n'est précisé sur le traumatisme post-avortement. Pourtant, des études existent.
C.B.
“«(…)les antidouleurs donnés ne sont pas toujours à la hauteur de la souffrance subie», révèle une infirmière qui a voulu garder l’anonymat. ”
Mais j’avais compris qu’on ne souffrait pas? Il y a pourtant besoin d’antidouleurs?
Jean Theis
Si c’était si terrible que cela, les femmes ne remettraient pas cela une deuxième, voire plusieurs autres fois.
Or c’est apparemment ce qui se passe : ou bien elles oublient vite, ou bien le fait d’être enceinte est pire que celui d’avorter – en tout cas au niveau du ressenti comme on dit maintenant.
Sinon, on ne comprend rien !