Lu sur Americatho :
"L’année 1973 fut une année noire pour la vie des enfants à naître aux États-Unis, puisque c’est celle ou la Cour suprême promulgua son abominable arrêt Roe vs Wade, créant de toute pièce un impossible “droit” constitutionnel à l’avortement et rendant, de fait, ce “droit” applicable sur les neuf mois de la grossesse… Entre 1973 et 1981, le nombre des avortements aux États-Unis grimpa en flèche : 16,3 ‰ en 1973 (16,3 avortements pour 1 000 femmes en âge de procréer – 15 à 44 ans), 26,4 ‰ en 1977, et atteignit son “sommet” en 1981 avec un taux de 29,3 ‰.
Puis, sans doute sous le double effet d’un contexte économique convenable et des efforts du mouvement pro-vie, le taux d’avortement s’infléchit régulièrement chaque année pour tomber, en 2005, à 19,4 ‰. Or, cette tendance à la baisse régulière s’est inversée depuis 2006, année où, selon le très pro-avortement Guttmacher Institute cité par Catholic Online, le nombre d’avortements s’est remis à croître. Les études de cet Institut – beaucoup plus sérieuses que les approximations des agences gouvernementales américains – sur les années 2005 et 2008 le démontrent. En 2008, dernière année faisant l’objet d’une étude du Guttmacher Institute, dont les résultats ont été communiqués cette semaine, le taux est remonté à 19,6 ‰, soit le sacrifice de 1,21 million d’enfants à naître."
Julie
C’est à pleurer de désespoir tous ces meurtres.
christophe
La différence quand même entre la France et les EU, c’est que aux EU les défenseurs des bébés sont plus puissants.
Il faut arrêter de parler de “pro-vie” car la vie est déjà là, je suis personnellement un défenseur des enfants dès l’embryon évidemment.