Voici un témoignage émanant d’un ancien du Bétar, milice juive en France, composée de 300 à 500 miliciens, pratiquant les sports de combat. Comme la Ligue de défense juive (LDJ ; elle est interdite aux US et au Canada), le Betar utilise l’antisémitisme comme parade face à un Etat qui n’ose pas intervenir, voire qui le finance.
Le reste du site d’où est tirée cette interview, le centre de recherche contre le terrorisme, offre des analyses intéressantes (dont celles d’Alain Chevalérias, chargé des questions internationales à l’Homme Nouveau). L’enquête sur les sergents recruteurs du terrorisme est également à lire…