Les déclarations des partisans du oui de 1992 à nos jours sont ici. Parmi elles :
“Si la réponse est non, il faudra recommencer le vote car il faut absolument que ce soit oui !", Jean-Luc Dehaene, ancien premier ministre belge, juillet 2004.
Ce que nous devons faire, c’est favoriser les délocalisations au sein de l’Europe“, Danuta Hübner, commissaire européen (d’origine polonaise), février 2005
«Oui, pour faire disparaître cette merde d’Etat-nation», Toni Negri, altermondialiste italien en campagne avec Daniel Cohn-Bendit et Julien Dray, 12 mai 2005.
“Pour faire l’Europe, il faut défaire un peu la France", Rudolf Von Thadden, ancien coordinateur des relations franco-allemandes, juin 2001