Le futur gouvernement et en particulier, le ministre de l’Intérieur, ont du pain sur la planche. Le grand banditisme sans frontière et le communautarisme mettent le feu dans nos villes, brûlent, pillent, terrorisent et tuent à tour de bras. Depuis quinze jours Perpignan, aujourd’hui, Marignane.
Et les pauvres maires du coin, élus français, doivent faire l’arbitre au risque d’être accusés de tout par une gauche, qui exploitera toutes les occasions pour renier ses propres responsabilités et pour voiler son aspect moribond en en rajoutant à la déstabilisation du pays…
Mais voilà, les temps changent :
– Dimanche, les Français ont dit leur ras-le-bol à l’immigration sauvage facilitée par Bruxelles et l’autiste ouiouiste qui prendra l’Intérieur devra l’entendre au risque de perdre gros (N’est-ce pas, Sarkozy?).
– Même la presse se lâche et oublie sa langue de bois. On n’y parle plus de "jeunes" de "milieux défavorisés" ou "en voie de…" mais de Maghrébins et de Gitans.
Un peu comme le reste de la population apeurée et inquiète, qui, elle, voit ce qui se passe, c’est à dire notre vieille France révée par des truffes politiques comme terre d’accueil, devenue le théâtre d’opérations extérieures de ceux qu’une Europe sans frontières nous livre comme nouveaux amis.