… président du groupe communiste à l’Assemblée nationale, a estimé que confier à l’UMP, "parti unique", la sortie de la crise du CPE avait "des relents un peu soviétiques" !
Il y aurait de quoi rire. Mais le député est très sérieux :
"On a un gros problème démocratique dans ce pays. Il n’y a plus de président de la République, plus de gouvernement, c’est un parti, le parti unique qui est aux manettes. Cela a des relents un peu soviétiques cette affaire".
"Moi je suis (…) fidèle au général de Gaulle (!) qui était contre le régime des partis, et voilà que ceux qui s’inscrivent dans la filiation gaulliste appliquent le régime des partis. Le général doit bouger dans sa tombe".
rabedor
Mais nous aurait-on menti?!!!
En plus d’avoir la mémoire d’un poisson rouge, il se trompe de date…..le 1er avril, c’était samedi dernier!!!
Mais c’est vrai, les policiens n’ont pas le sens du ridicule, une grâce sans doute!
(ça ne s’appelle pas “cracher dans la soupe”?).
Ingomer
Les révolutionnaires depuis 1789 sont les maîtres de la subversion du langage faisant passer un plat d’haricots pour un plat de lentilles. Prenez n’importe quel mot usité par les révolutionnaires, vous vous rendrez compte qu’ils en ont subverti le sens !
“Ce qu’il y a de plus funeste pour les peuples, après la Révolution, écrit Blanc de Saint Bonnet, c’est la langue qu’elle a créée. Ce qu’il y a de plus redoutable après les révolutionnaires, ce sont les hommes qui emploient cette langue dont les mots sont autant de semences pour la Révolution… Ne jetons plus aux foules des termes dont on ne leur explique point le sens théologique et vrai. Ils ne cessent d’engendrer les idées qui tiennent les masses en ébullition et les arrachent au devoir de la vie” (Antoine Blanc de Saint Bonnet, “La Légitimité”, 1873, p. 281-284, ouvrage honoré d’un Bref personnel de Pie IX.)