La plus haute juridiction administrative italienne, le Conseil d’Etat, a rejeté la demande d’une mère finlandaise qui réclamait le retrait des crucifix des écoles publiques, non par qu’ils sont un "objet d’adoration" mais parce qu’ils constituent "un symbole adéquat pour exprimer" les valeurs civiques.
Le ministre de la Culture Rocco Buttiglione, a jugé cette décision "éclairée", observant qu’elle expliquait que "le crucifix est un symbole culturel qui a une valeur civique et pas seulement une signification religieuse". "Même des non croyants, quand ils connaissent et aiment la culture italienne, voient dans le crucifix le symbole de valeurs humaines élevées". En Italie, le crucifix est présent dans nombre de bâtiments publics, y compris des tribunaux.
Vraiment, avec le Cardinal Ruini et les ministres de ce pays, l’Italie a du bon ! A se demander pourquoi l’Italie n’a pas osé défendre les racines chrétiennes de l’Europe.
Ad jesum per mariam
C’est sûr que cela reflète des symboles biens plus percutants que ceux des droits de l’homme à la mode franc-mac’
jewdocha
Vous avez bien raison et c’est d’ailleurs pourquoi j’ai personnellement mis en évidence, faisant face à la porte d’entrée appartement, un crucifix qui était placé jusqu’alors à l’intérieur d’une pièce. Afin que nul ne l’ignore. Je suis chrétien et non pratiquant.