Le Conseil supérieur de l’éducation a autorisé l’ouverture du groupe scolaire musulman Al-Kindi situé à Décines dans la banlieue de Lyon. Dans un communiqué, le ministre de l’Education nationale Gilles de Robien indique qu’il "prend acte" de cette décision. Dans le cas où Al-Kindi ouvrirait en cours d’année, M. De Robien a souhaité que les futurs élèves
"bénéficient des meilleures conditions de poursuite d’études [et] rappelle que le nouvel établissement sera soumis, comme tout établissement privé hors contrat, au contrôle de l’Etat dans les conditions prévues par le code de l’éducation".
Olivier
Lille a le triste privilège d’avoir ouvert le premier lycée musulman de France (Averoès); voilà maintenant celui de Décines.
Mais le plus surprenant encore, c’est qu’il n’y en ait que deux. Vu l’importance de la communauté musulmane de Lille (plusieurs centaines de milliers) et de celle de la banlieue lyonnaise, on pourrait croire que finalement l’islam ne perce pas. Grave erreur pourtant, car les mosquées lilloises sont en nombre impressionnant, souvent insoupçonné car elles demeurent discrètes, nichées dans des ruelles ou des appartements qui ne l’indiquent pas. Cette nouvelle conquête de l’islam est en fait un signe qui devrait inquiéter: l’islamisation se sent aujourd’hui suffisamment forte pour s’imposer au grand jour. Ca ne va donc être que le début.
Samir
Je suis très content que lille et roubaix soient devenues des wilayas majoritairement “musulmannes” ! J’invite cette communauté à sortir de son rôle de figurant et de victime que lui fait jouer aujourd’hui le parti socialo-communiste et a présenter suffisamment de candidats aux prochaines échéances électorales pour s’émanciper de la tutelle démagogique et idéologique du système politique actuel (alter-lcr-lo-verts-pc-divers-udf-fn-umps… bref tous les blablateurs! ).
paul
Le jour où les français auront compris que notre pays se fait “islamiser” dans tous les domaines, j’espère qu’il ne sera pas trop tard. Mais pour l’instant, la majorité n’a pas ouvert les yeux.
ABC
La vraie question est la question de la liberté naturelle des parents d’enseigner leurs enfants.
Les lois liberticides récentes contre la scolarisation à la maison doivent être combattues, car elles vont contre ce droit naturel.
Mais comment pourrions-nous, dans un pays “laïque”, empêcher des parents de fonder un lycée musulman ?
Bien sûr, il y a des limites :
– pas de financement étranger ;
– contrôle minimal de l’Etat sur les conditions de vie, sur l’enseignement.
Mais à part cela, ce que NOUS revendiquons lorsque nous fondons une école hors-contrat, nous pouvons difficilement le refuser aux musulmans.