Depuis toujours opposé au traité constitutionnel, Vaclav Klaus estime que les deux "non" français et hollandais suffisent à interrompre le processus de ratification : "Il suffit d’un seul ‘non’ pour faire sombrer ce navire inutilement grandiose".
Son gouvernement a déjà déclaré qu’il procèderait à un référendum, dont la date n’a pas encore été fixée.