L’institut Civitas offre un compte-rendu, avec photos, de sa conférence-débat de samedi dernier.
"De ces deux heures de débat, ressort une idée majeure martelée par les trois intervenants : la nécessité de dépasser les clivages des partis ou des stratégies pour que tous les responsables politiques encore catholiques adoptent une démarche qui soit commune, à défaut d’être unitaire, sur les grands sujets d’actualité."
claire
tout a fait d’accord. J’ajouterais que nous pourrions aussi faire signe à nos frères protestants et orthodoxes (je sais que certans vont sauter au plafond…!!!)L’unité n’est pas l”uniformité, et il nous faut maintenat annoncer l’essentiel , c’est à dire l’Evangile dans son jus éclairé par les expériences ecclésiales des trois . Beaucoup de très bon nous étant d’ailleurs commun. Réunissons ce que nous avons de meilleur, baignons le de Foi véritable, d’espérance tenace et persévérante et de Charité profonde, prions ensemble jusqu’aux limites du possible, écoutons nous et agissons ensemble chacun pour sa part pour le Bien Commun.
Ingomer
“Les appels des conférenciers au dépassement des différences ont été relayés par notre ami Jacques de la Vallée de Civitas qui, après avoir rappelé notre opposition au système démocratique actuel et à ses fondements révolutionnaires”
Ils tout compris ! c’est bien le système démo(n)cratique issu de 1789 et ses fondements REVOLUTIONNAIRES dont il s’agit de mettre un terme.
Eugène
Au sujet de la citation relevée par Ingomer et signifiant “notre opposition au système démocratique actuel et à ses fondements révolutionnaires”, certes ce n’est pas une évidence pour beaucoup de catholiques. Pour les orthodoxes (je reprends la réponse de Claire) c’est plus évident; pour les protestants – sans faire de généralités – leur adhésion m’étonnerait. En effet, considérant le fait que beaucoup d’écoles publiques ont succédé à des écoles protestantes au début du XXe (tant les protestants se reconnaissaient les héritiers de 1789), ce serait chez eux un revirement historique!
Pour les écoles, c’est pour cette raison que peu d’établissements privés français se reconnaissent protestants.
Eugène
pour les écoles, c’est fin XIXe (de mémoire)
Anonyme
En voici des politiques qui “dépassent les clivages politiques”! :
Les « mamours » de Berlusconi
La semaine dernière à Bruxelles, Silvio Berlusconi, dont l’avenir à la tête de l’Italie semble incertain, n’a cessé de faire des « mamours » à Tony Blair et à Jacques Chirac, ce qui fait dire à un observateur allemand habitué de ces sommets que « Berlusconi a des relations qui dépassent ‘largement’ le contexte professionnel avec au moins 7 des 25 chefs d’État de l’Union européenne ».
http://www.reponseatout.com/article.php3?id_article=1066