Le FigaroVox interrogeait Bruno Riondel, "professeur d'Histoire dans l'enseignement secondaire, auteur du livre Considérations inconvenantes, sur l'école, l'islam et l'histoire en France à l'heure de la mondialisation. (Éditions du Toucan)".
Dans la première partie de l'entretien, Bruno Riondel montre le décalage énorme entre l'école de la république et les élèves musulmans, que le laxisme toujours plus grand de l'institution incite à des exigences communautaristes toujours plus importantes. Puis il montre à quel point l'enseignement de l'histoire est aujourd'hui dévoyé, au point d'empêcher l'intégration de la population musulmane.
[…] "La première affaire du voile à Creil en 1989 serait «une manœuvre dirigée par des fondamentalistes musulmans» pour tester la République. Ne tombez-vous pas dans la «théorie du complot»?
Les Frères musulmans incitent les femmes à se voiler ; c'est là un moyen politique pour tester la résistance des pouvoirs publics. A Creil, en 1989, alors que l'ensemble des musulmanes de France ne portaient pas de voile, il suffisait aux jeunes filles de le retirer pour satisfaire à l'exigence légitime du chef d'établissement. Au lieu de cet acte de bonne volonté, un rapport de force fut créé par les musulmans et une résistance communautaire s'organisa. Il s'agissait bien d'un acte d'affirmation conçu et piloté par des responsables islamiques, le premier auquel d'autres succèderont. L'islamologue Gilles Kepel, que l'on ne peut soupçonner de «complotisme», rappelle dans son ouvrage intitulé «terreur et martyr» qu'en 2004, l'UOIF «encouragea les élèves qui désiraient se présenter voilées à l'école ou au lycée (…) de manière à créer un contentieux juridique qui serait mené jusqu'aux tribunaux européens…». Ne soyons pas naïfs.
Vous considérez que l'enseignement de l'histoire est, lui aussi, victime d'accommodements ?
Les ouvrages et les programmes présentent un islam médiéval révisé, tolérant et défenseur des savoirs, alors qu'ils stigmatisent l'Occident chrétien, un monde sombre marqué par les croisades, l'Inquisition ou l'emprise religieuse sur les sociétés. Curieusement les concepteurs des programmes s'alignent sans nuances sur le point de vue musulman. Quant aux pédagogues du site Eduscol, chargés de problématiser les questions proposées par les programmes, ils affirment à propos de l'histoire islamique qu'«il faut rechercher non ce qui est réellement arrivé, mais le sens que prennent ces textes dans un univers culturel différent».
La réalité passée est ainsi escamotée par une approche subjectiviste alors que la science historique exige de l'objectivité. L'impression donnée est celle d'une sagesse islamique qui éclaire un sombre moyen âge. Une telle perception est le fruit d'un postulat idéologique fondé sur de bons sentiments dans le but de favoriser le vivre ensemble ; elle traduit aussi la naïveté de ses concepteurs qui contribuent à endormir les jeunes sur le réel passé d'une civilisation qui ne fut pas aussi progressiste que certains le prétendent. De plus, l'histoire occidentale est diabolisée par la culpabilité qui affecte ses promoteurs.
A cet égard que pensez-vous de la récente polémique sur les nouveaux programmes d'histoire?
Je pense qu'elle est très révélatrice d'une volonté idéologique d'atténuation de la culture dominante avec des enseignements sur le christianisme et les Lumières devenus facultatifs, alors que l'enseignement obligatoire de l'histoire de l'islam est renforcé. Cela traduit la volonté du pouvoir de promouvoir une culture exogène à égalité avec la culture endogène, au nom du multiculturalisme et d'un vivre ensemble républicain. Il s'agit de favoriser l'inclusion de la communauté musulmane – et non plus l'intégration des musulmans– dans la communauté nationale et de forger à une échelle plus vaste une nouvelle culture globale, détachée des déterminismes identitaires et religieux. C'est là un projet généreux et naïf de l'instant présent qui ne tient pas compte de l'influence des racines spirituelles des cultures. Le retour inévitable du réel sera d'autant plus douloureux que les musulmans, eux, n'oublient pas leurs fondements culturels et inscrivent leur action dans le long terme de la tradition islamique.
Vous écrivez que l'histoire doit être un moyen de restaurer la fierté nationale. Est-ce vraiment son rôle?
En partie oui. L'enseignement de l'histoire à l'école a une dimension civique évidente. Il assure la cohésion d'un peuple. L'histoire enseignée n'est jamais neutre. Ainsi, l'histoire repentante sert le multiculturalisme par abaissement de la culture dominante diabolisée et rehaussement des autres cultures posées en victimes de l'histoire. Notre histoire nationale n'a ainsi rien d'attrayant pour susciter le désir d'identification des jeunes issus de l'immigration et si nous voulons réellement les intégrer, nous devons leur donner l'envie d'adhérer au récit national ; pour cela il faut qu'ils en tirent des motifs de fierté. Et ceux-ci sont nombreux dans notre histoire."
Et c'est un prof qui le dit; ça fait du bien !
Patrick
Il est évident que l’oligarchie cherche à supprimer par tous les moyens les états !
Puisqu’on est dans l’histoire, si on insiste sur l’islam plutôt que sur le christianisme, il y a entre autres une raison majeure. On ne tient pas que les petits Français connaissent l’Apocalypse ! Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il annonce ce que cette oligarchie est entrain de faire :
Les 4 cavaliers de l’Apocalypse :
1/ Le cheval blanc qui est monté par l’antéchrist. Il sera le plus grand dictateur qu”ait connu la planète et le plus menteur. Il déformera la pensée des gens et cherchera à détruire les serviteurs de Dieu. Son but : prendre la place de Dieu. Il régnera sur la population toute entière en créant un seul gouvernement, un seul système économique, une seule religion. Pendant 3 ans et demi, il ne sera pas si dur. Mais après il montrera son véritable visage. Les conditions de vie à cette époque seront tellement dégradées que les gens ne se sentiront pas capables de lui résister. L’Antéchrist créera le chaos pour que la population réclame son aide. Après avoir plongé les peuples dans une profonde détresse, il jouera au sauveur en ayant un don certain pour envoûter les gens par ses dires. Il leur apparaîtra comme quelqu’un de bien alors qu’il sera le plus grand charlatan de tous les temps.
2/ Le cheval verdâtre monté par la mort et suivi par Hades. Il infectera le monde avec une pandémie massive. Un quart de la population en mourra.
3/ Le cheval noir monté par cavalier tenant une balance. Il représente la famine, le manque de nourriture.
4/ Le cheval rouge feu monté par celui à qui on a ordonné de bannir la paix de la terre et que les gens s’égorgent entre eux. Il annonce la bataille d’Armageddon qui sera le conflit final entre le Christ et l’antéchrist. Entre le bien et le mal. La guerre de Gog et Magog fait partie de la bataille d’Armageddon. Les protagonistes aujourd’hui pourraient bien être la Perse et l’Iran qui chercheraient à vouloir détruire Israël. C’est du moins ce qu’explique la vidéo. Pourtant le Proche et Moyen Orient ont été déstabilisés par les anglo-sionistes ! Et c’est encore eux qui propagent l’homosexualité, l’euthanasie, l’eugénisme, l’avortement avec vente du corps du bébé, les mères porteuses… Une chose est sûre, les armes nucléaires seront utilisées.
https://www.youtube.com/watch?v=g3IKwj3vgZE
ODE
D’expérience, il suffit d’un bon directeur pour qu’une école telle qu’elle est rêvée par ce monsieur fonctionne. J’ai travaillé dans un établissement vraiment mixte, avec des élèves venant des cités et des élèves venant d’une banlieue prospère: la fermeté du directeur faisait que le professeur était en toute circonstance écouté et respecté, dans sa personne et dans son savoir. Un enfant musulman est comme un autre enfant quand il vient à l’école: prêt à écouter, à comprendre, à savoir, on peut très bien le faire devenir un esprit éclairé “à la française”.
Cela devient impossible dans deux cas: premièrement quand l’école n’est composée que d’immigrés (de plus en plus dans toutes les villes, on trouve une école d’arabes, une école de noirs et une école de blancs – l’école privée, la plus chère; phénomène normal malheureusement), deuxièmement quand le directeur ne fait pas son boulot: ne s’intéresse pas au travail des professeurs, ou pense qu’être tolérant avec les musulmans c’est ne pas leur parler du Dieu chrétien (dans des établissements sous contrat) ou ne pas demander aux mamans d’enlever leur voile. Et ils sont sûrs d’être du bon côté, gentils, tandis que les parents ou professeurs qui émettent quelques remarques sont vite recadrés.
A cet égard la hiérarchie de l’enseignement catholique est d’une fadasserie à faire vomir. De toute façon c’est un milieu d’entre-soi où le professeur et le savoir n’ont aucun intérêt si ce n’est pour rendre le service qu’on leur demande (ne pas faire d’écart sinon…) ou pour remplir des heures devant élèves, ou pour faire tourner la boîte, car ces établissements sont devenus des boîtes.
Moyennant quoi il y a aussi peu de profs en province que de médecins. Comment voulez-vous faire un métier où nul ne s’intéresse à ce que vous faites (si ce n’est le jour où vous parlez, par exemple, d'”évangéliser les musulmans” ou encore de “restaurer la grammaire” et où on vous tombe dessus pour intégrisme) sauf pour s’en plaindre??
C’est ainsi que les profs, autrefois magnifiques, prêts à donner temps et savoir, se font de plus en plus rares et sont de plus en plus mauvais.
C’est pas comme ça qu’on va montrer aux élèves musulmans de plus en plus nombreux, à quel point notre civilisation est magnifique. ça, ça devrait être le rôle du prof, qu’on devrait donc porter au pinacle car sans lui, point d’unité nationale.
A la place, on a des pions qui doivent réciter un programme fait par des gens qu’on ne connaît pas. Elle est pas belle la dictature?
Si les parents chrétiens pouvaient au moins remercier les enseignants de collège et lycée, leur faire des cadeaux à la fin de l’année, punir leurs enfants quand ils ne travaillent pas, soutenir le travail de l’enseignant… ils agiraient un peu plus en parents chrétiens que quand ils se méfient systématiquement de l’enseignant, tout en étant prêts à le critiquer à la moindre absence, sans jamais le soutenir ou demander de ses nouvelles…
DUPORT
L’écriture sainte est truffée de complots
Notre histoire aussi !
Nos rois n’ont eut de cesse de déjouer les complots
A la pire époque que l’humanité ait jamais connue certains veulent faire croire que les complots n’existent pas !
TOUS ceux qui parlent de “théorie du complot” ou tentent de ridiculiser ceux qui dénoncent les complots SONT DES GENS MALVEILLANTS, AGENTS VOLONTAIRES ET CONSCIENTS DE CE QU’ILS FONT !
CE SONT DES COMPLICES !
Rarement des “idiots utiles”
On reconnait un arbre à ses fruits !
Une personne NORMALE, SENSÉE, accueille et analyse AVEC BIENVEILLANCE toute dénonciation de complot, cherche à en vérifier la véracité et ne rejette pas d’emblée des arguments qu’elle n’a pas longuement étudié !
D’autre part certains signes ne trompent pas… Par exemple, si vous voyez une seule crotte de rat cela ne signifie pas qu’il y a un rat, mais plusieurs ! Nul besoin de les voir ni de palabrer des heures !