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Immigration / Valeurs chrétiennes : Education

L’Education nationale propose la culture algérienne en primaire

A Ces cours de culture et d'enseignement de l'arabe sont donnés par des professeurs algériens (cliquez sur l'image pour l'agrandir). Voila qui va certainement aider à l'intégration (je ne parle même pas d'assimilation) de la jeunesse des banlieues.

Cela se passe à Grigny (91).

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6 commentaires

  1. Cela peut faire des bilingues utiles économiquement.
    Ce qui est injuste c’est que cela soit réservé aux immigrés. L’arabe littéraire est une belle langue à étudier.

  2. J’ai longtemps servi la cause de la maltraitance envers les enfants. Ce qui me donne le droit de faire remarquer qu’il faut faire attention aux termes que l’on utilise, bien souvent. Entre 15 et 18 ans, ce n’est plus de la pédophilie en tant que telle. Mais de la pédérastie.
    De plus, depuis 15 ans, l’adolescent est convenu comme majeur sexuellement. Sauf, dans des cas de manipulation qui seraient exercés à son encontre.
    Attention aussi à la banalisation du sujet.
    Salutations patriotiques.

  3. Comme à Vannes, où le futur ancien Maire, M Goulard, fait donner des cours d’arabe aux enfants qui le souhaitent (enfants d’algériens à Vannes), ce, sur les budgets municipaux d’intégration !
    Peut-être serait-il mieux venu, en matière d’intégration, de leur donner des cours de français, et de leur faire faire des sorties scolaires pour visiter le chateau des ducs de Bretagne et la Basilique Ste Anne d’Auray ?
    Heureusement, il n’est plus Maire pour longtemps !

  4. C’est l’application du plan Eurabia (voir les ouvrages de Bat Ye’or). Cela fait longtemps que l’Europe s’est engagée à de tels enseignements.

  5. Déjà que l’arabe est une langue de colonisateurs imposés aux Berbères d’Afrique du Nord….

  6. Ce n’est pas seulement à Grigny, c’est un accord au niveau national, il en va de même dans ma commune. La directrice de l’établissement l’a dit elle-même.
    A l’origine, d’autres langues devaient être enseignées en primaire, dont l’italien, le portugais et l’espagnol, mais aucun fond n’est prévu pour l’enseignement de ces langues.
    L’arabe échappe aux problèmes d’argent car l’Algérie payent les cours…
    C’est désolant… mais c’est comme ça.

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