C'est ainsi que titre l'AFP, suite à la défaite de l'Algérie contre l'Egypte (4-0) en demi-finale de la Coupe d'Afrique des Nations. A Marseille, quelques centaines de supporteurs de l'Algérie, arborant drapeaux, se sont rendus sur la Canebière et aux abords du Vieux-Port au coup de sifflet final. Certains d'entre eux, par petits groupes, ont allumé des fumigènes et jeté des projectiles (canettes, pierres, bouteilles et autres) sur les forces de l'ordre, qui ont répliqué par des tirs de grenades lacrymogènes.
La police a procédé à quelques interpellations. Les échauffourées se sont poursuivies autour de la Canebière et du Vieux-Port, des supporteurs mettant le feu à des poubelles et jouant au chat et à la souris avec les forces de l'ordre en tenue anti-émeute.
Sept unités de gendarmerie et de CRS avaient été mobilisées jeudi soir, ainsi que la compagnie de sécurisation de Marseille et des effectifs en civil, soit plus d'un demi-millier de fonctionnaires.
A Toulouse, dans le centre-ville, des échauffourées ont opposé des supporteurs aux forces de l'ordre, tandis que la police essuyait des jets de projectiles dans le quartier excentré du Mirail. Deux voitures ont été incendiées.
Dans la région lyonnaise, les pompiers dénombraient deux voitures incendiées à Rillieux-la-Pape et Vénissieux, deux poubelles brûlées à Vénissieux et dans le 8e arrondissement de Lyon.
pique-à-sots
Ces “légers incidents” dans nos villes sont la preuve manifeste de l’intégration de ces personnes chez nous puisque rien ne ce genre n’est signalé dans leur pays d’origine! …ah! vous ne partagez pas mon opinion ? ….racistes invétèrés !
Robert
“forces de l’ordre”: est-ce un terme “politiquement correct”?
David
Le match aurait eu lieu en France ou en Algérie , le résultat est l’émeute http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2009/11/match-egyptealg%C3%A9rie-r%C3%A9action-dun-d%C3%A9put%C3%A9.html
Mais, mais le Match a eu lieu en Egypte. Les voitures, on les brûle où, alors???
AML
Comme aurait dit De Gaulle : “c’est la chienlit…”
Jean Theis
Mais ils ont bien raison puisque nous ne ripostons que par “quelques interpellations” qui ne seront suivies par rien, comme d’habitude.
Comment ne pas voir que ces r ne débordent que parce qu’on les laisse faire, voire qu’on les encourage ?
La preuve, chez eux ils se tiennent tranquilles.
C.B.
“légers incidents” des incendies volontaires?
Et si on se décidait:
1) à appeler “chat” un chat, et qu’on donne l’exemple de l’emploi des termes adéquats
2) à faire savoir aux journalistes qu’il serait urgent qu’ils étoffent leur vocabulaire et qu’ils affinent leurs formulations quand ils rendent compte d’un événement.
Evidemment, quand il n’y a ni espace pour les commentaires (les sites de journaux n’encouragent pas toujours les prises de parole de leurs lecteurs -tout le monde n’a pas l’élégance du SB-), ni zone de contact, la tâche se complique un peu…