Nous avons interrogé Gabriel Faugloire, ancien directeur d’EHPAD et auteur de L’Eglise et la crise sanitaire:
Vous avez assisté à la crise sanitaire aux premières loges puisque vous dirigiez à cette époque une maison de retraite. Qu’est-ce qui vous a le plus choqué à ce moment-là ?
J’ai tout d’abord été sidéré par le premier discours d’Emmanuel Macron le 16 mars 2020, faisant suite à la déclaration de pandémie le 11 mars par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Notre président annonce à six reprises que la France est « en guerre » sanitaire et présente les mesures d’un confinement national inédit de la population, y compris pour nos aînés dans leurs chambres d’EHPAD. Saisi par une forte motion intérieure m’invitant à refuser ce qui me paraissait profondément non ajusté, je n’ai pas pu aller jusqu’au bout de son allocution. La sidération s’est poursuivie quelques jours plus tard, avec la parution le 25 mars 2020, d’un décret interdisant la prescription de l’hydroxychloroquine (molécule connue depuis plus de 70 ans et qui avait déjà été utilisée avec succès pour le SARS-COV1 en 2002), suivi dès le lendemain par l’autorisation exceptionnelle par décret d’usage du Rivotril en EHPAD par les médecins traitants (puissant sédatif réservé habituellement aux services hospitaliers). Ainsi on interdisait un jour un médicament qui peut soigner (le paracétamol ne soigne pas) et le lendemain on autorisait un médicament dont on sait qu’il conduit à la mort. Je reste marqué par le témoignage d’un collègue directeur d’EHPAD dont les équipes ont vu mourir des résidents par usage abusif de Rivotril. Il est probable que ce médicament a été un outil d’euthanasie utilisé un peu partout en France par des médecins qui n’ont pas pu soigner leurs patients autrement (interdiction de prescrire, « tri » pour les hospitalisations) … J’ai aussi été choqué par l’inscription systématique du COVID-19 comme raison de la mort sur les actes de décès, dès lors que la personne âgée était positive au test PCR, faisant fi de toutes ses comorbidités (cancers, insuffisances cardiaques…). Dans l’EHPAD que je dirigeais, nous avons eu en 2020 cinq décès attribués au COVID-19 (lors de l’épidémie de l’automne) sur plus de trente malades, avec une moyenne d’âge de plus de 90 ans et 100 % de comorbidités.
En EHPAD nous avons l’habitude de gérer les épidémies (grippes, gastro-entérite…). Les protocoles sont en place et les mesures d’hygiène et d’isolement des malades fonctionnent très bien en appui des traitements médicaux. Je voulais bien admettre que devant un virus inconnu il fallait être prudent, mais de là à ne plus vivre pour éviter la mort je n’étais pas d’accord. La politique du « zéro COVID » en EHPAD a amené des mesures absurdes, scandaleuses même, parce qu’inhumaines. Choqué, je les ai aménagées, non sans difficultés, avec le soutien d’une grande partie de l’équipe (je les en remercie encore vivement), de sorte que la dignité et la liberté des personnes âgées soient sauvegardées. J’ai défendu une vision et une approche humaines, loin des recommandations d’enfermements, de privations de visites, de port du masque, de distanciation sociale (jusqu’à 2 mètres en EHPAD !!!), de plexiglass, et pour finir de vaccination massive sans consentement éclairé des résidents… jusqu’à ce que mes dirigeants associatifs ne me suivent plus, et me demandent soit de rentrer dans le rang, soit de partir. Cette divergence de point de vue sur la gestion de la crise a sonné mon départ de l’EHPAD le 1er février 2021 dans le cadre d’une rupture conventionnelle de contrat de travail.
Que reprochez-vous principalement au gouvernement dans la gestion de cette crise sanitaire ?
En premier lieu je reproche au gouvernement d’avoir fait peur à la population, de façon excessive, malsaine et sur la durée. Je peux comprendre qu’une forte inquiétude l’ait saisi au tout début de cette épidémie et qu’il ait souhaité appliquer le principe de précaution. Je n’ai pas été d’accord avec la méthode employée : rappelons-nous des comptages quotidiens à la télévision du nombre de décès ou du nombre de personnes en réanimation, le tout sur fond d’images et de discours apocalyptiques… ; rappelons-nous aussi de ce spot publicitaire honteux qui rend coupables des petits-enfants de l’entrée de leur grand-mère agonisante en service de réanimation. Je n’ai pas non plus adhéré aux mesures « barrières » inédites (confinement, port du masque, distanciation sociale) basées sur des suppositions scientifiques qui n’ont fait l’objet d’aucun débat, et dont les graves conséquences humaines et économiques n’ont pas été mesurées ni considérées. Il existait pourtant des plans pandémies maîtrisés pour ce type de virus, et l’expérience de la Grippe H1N1 en 2009 avait émis de nombreuses recommandations pour ne pas refaire les mêmes erreurs (voir les rapports de l’époque du Conseil de l’Europe et du Sénat[1]). Lors des précédentes épidémies, nos instances de santé publique observaient principalement l’évolution du nombre de malades, la létalité (pourcentage de décès parmi les personnes malades) et prenaient en compte l’immunité collective naturelle comme un facteur aidant déterminant. De leur côté, les médecins de ville observaient les symptômes, traitaient et isolaient les malades. Or, cette fois-ci, sans aucun débat scientifique, les normes habituelles de suivi épidémique n’ont pas été respectées : les médecins de ville ont été exclus de la course (entrainant logiquement l’aggravation des symptômes, le recours aux urgences, la réanimation des personnes fragiles et in fine le nombre de décès), le suivi du nombre de malades a été occulté au profit du nombre de cas positifs, la létalité a disparu au profit du nombre de morts (on sait maintenant qu’elle n’était pas plus élevée qu’une bonne grippe saisonnière), et l’immunité collective n’a été envisagée que sous l’angle vaccinal, l’OMS ayant même supprimé temporairement de son site internet la notion d’immunité naturelle comme élément de lutte contre ce virus !
Le terreau de la peur ayant été bien épandu, le gouvernement était en position de force pour manipuler une large partie de la population « morte de trouille ». En dehors des mensonges sur les masques au début de la pandémie[2], je reproche au gouvernement d’avoir menti sur l’inutilité des traitements précoces et sur les vaccins anti-covid « sûrs et efficaces ». Je détaille dans mon livre les nombreuses études et présente de nombreux témoins courageux, décrivant d’une part les bienfaits des traitements précoces à base d’Hydroxychloroquine ou d’Ivermectine et d’autre part les inquiétudes qui entouraient cette nouvelle technologie de vaccins. On a su très vite par exemple que la vitamine D, qui ne coûte rien, qui est inoffensive, et que l’on trouve partout, disposait contre le SARSCov2 d’une efficacité de plus de 80 % en prévention. Ainsi, une simple distribution massive de Vitamine D à la population générale et en EHPAD en particulier, aurait protégé des centaines de milliers de personnes dans le monde, et permis aux hôpitaux, moins engorgés, de se concentrer sur les personnes les plus fragiles, aux EHPAD de « libérer » leurs résidents et rouvrir leurs portes aux familles et proches. Cela n’a même pas été tenté ! Une seule solution nous a été proposée, pour ne pas dire imposée : un « vaccin » dit à ARN messager issue d’une technologie n’ayant jamais donné de résultats probants et n’ayant jamais été déployé à l’échelle planétaire. A leur propos, que de mensonges ont été prononcés par Olivier Véran (alors ministre de la Santé) et Emmanuel Macron ! Ils ont maintenu que les vaccins n’étaient plus en phase expérimentale (par exemple, la livraison du rapport d’essai clinique du vaccin Pfizer sur les femmes enceintes est prévue pour le 31/07/2024[3]), qu’ils étaient sûrs (la base de pharmacovigilance VigiAccess de l’OMS répertorie plus de 5,3 Millions d’effets secondaires dans le monde au 4 mars 2024 pour le vaccin Pfizer) et efficaces (on sait maintenant qu’ils ne préviennent ni de l’infection ni de la contamination). Malgré le recul de plus de 2 ans, Aurélien Rousseau, alors ministre de la Santé, a l’indécence de déclarer le 3 octobre 2023 au micro de France-Inter qu’il faut continuer de se faire vacciner contre le COVID-19 et que les vaccins n’ont pas d’effets secondaires…
Pourquoi omettre des mesures simples de renforcement de notre système immunitaire ? Pourquoi interdire des traitements précoces, connus depuis plus de 40 ans, au motif que les études ne sont pas suffisantes ? Et pourquoi donc autoriser de façon massive et inédite des vaccins dont les tests sont toujours en cours ? Un « deux poids deux mesures » qui démontre toute l’absurdité de la gestion de cette crise sanitaire et qui scandalise : les mesures prises, les censures et les mensonges – relayés avec le concours des médias dominants, de l’AFP et des GAFAMs – (évitant tout débat qui méritait pourtant largement d’avoir lieu), ont concouru à blesser, voire accélérer le décès de milliers de personnes !
Vous êtes également très critique sur l’attitude de l’Eglise. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?
Oui c’est vrai, car si je n’attendais pas de miracle de la part de notre gouvernement, j’espérais en revanche une parole forte de l’Eglise pour dénoncer les manœuvres anti-chrétiennes et profondément « anti-Vie », que ce soit pour nos aînés ou pour notre jeunesse, tous si malmenés. Or, en dehors de quelques voix résistantes et courageuses qui m’ont fait du bien parmi les laïcs (comme le collectif Saint-Antipas ou le philosophe Martin Steffens), parmi les prêtres (comme l’abbé Philippe de Maistre ou le Frère Patrick-Marie Bozo, prieur de la Sainte-Baume) et parmi les évêques (je pense à Mgr Aillet, l’évêque de Bayonne, Lescar et Oloron), ce fut tout de même le silence radio, en France comme au Vatican… quand il n’y a pas eu de la part des autorités religieuses (le Saint-Siège en tête) des messages ou des signaux partisans : le 21 décembre 2020, la Congrégation pour la doctrine de la foi estime que le recours à des vaccins conçus à partir de cellules de fœtus non spontanément avortés (cas de certains vaccins ARNm en phases de conception, tests et production) est « acceptable » en cas de « grave danger »; le 22 juillet 2021, la Conférence des Évêques de France (CEF) indique dans une tribune, accepter le principe du passe sanitaire et se positionne clairement du côté des pouvoirs publics ; le 18 août 2021, le pape François déclare dans un message vidéo diffusé que « se vacciner est un acte d’amour ». Par ces différents messages il est fait appel à notre responsabilité de chrétien, qui voudrait que nous soyons responsables les uns des autres. Or, je pense que cette façon d’aborder le sujet a ses limites et peut être stigmatisante. En effet, dans le domaine de la santé, nul n’est responsable, ni de la santé de l’autre, ni de son hygiène de vie. Sauf erreur, le Seigneur Jésus n’a jamais dit que nous sommes responsables les uns des autres. En revanche, il nous demande d’aimer notre prochain comme nous-mêmes. Ce n’est pas pareil !
Je crois que l’Église a succombé à la crainte du virus, à la peur de la mort. Peut-être aussi à la peur des représailles, de la censure, ou encore à cause de la honte des épisodes de pédo-criminalités qu’elle a connus en son sein. Apeurée, j’observe que l’Église n’a pas eu le courage de proposer un regard alternatif aux mesures gouvernementales, un regard conforme à la Parole de Vie. Dieu pourtant, répète 366 fois dans la bible « N’ayez pas peur » : il nous invite à ne pas craindre la mort parce qu’elle rend esclave, à avoir confiance parce qu’Il est avec nous.
C’est cette peur qui l’a sans doute rendue docile aux autorités. Il est vrai que l’Église se doit d’être obéissante aux pouvoirs civils, comme l’écrit saint Paul dans sa lettre aux Romains (Rm 13, 1-7). Mais, poursuit-il, la Charité demeure sa seule Loi (Rm 13, 8-10). Ce qui veut dire que les chrétiens doivent refuser toute loi civile allant à l’encontre de la Charité et se lever contre les dirigeants qui voudraient ainsi abuser de leurs pouvoirs sur la population. Les quelques chrétiens français qui ont osé dire les choses et dérangé leurs évêques n’ont pas été entendus : par exemple, le collectif Saint-Antipas a envoyé un manifeste à tous les évêques de France. Les retours se comptent sur les doigts d’une main…
Enfin, le cœur de l’Église catholique m’a semblé comme partagé entre Jésus-Christ et une « science » toute puissante : « Élie se présenta devant la foule et dit : « Combien de temps allez-vous danser pour l’un et pour l’autre ? Si c’est le Seigneur qui est DIEU, suivez le Seigneur ; si c’est Baal, suivez Baal. » Et la foule ne répondit mot. » (1 R, 18,21)
J’ai la triste impression que l’Eglise a joué le rôle du prêtre et du lévite dans la parabole du bon samaritain…
Quelles leçons tirez-vous de cette crise sanitaire ?
Plein de belles choses, à la fois pour ma vie de chrétien et de citoyen !
La première a été de me réveiller spirituellement d’un monde dans lequel je pensais naïvement que tout le monde faisait de son mieux pour son prochain, en particulier nos dirigeants. Ce réveil m’a été confirmé en mars 2021, lors d’une retraite au monastère prémontré de Sarrance, où Dieu m’a donné de comprendre cette parole de Jésus à son Père : « Je leur ai donné ta parole et le monde les a haïs parce qu’ils ne sont pas du monde » (Jn 17,14). J’ai aussi compris que je devais « rester en tenue de service, ma ceinture autour des reins, et ma lampe allumée » (Lc 12,35). Pour cela deux paroles m’ont inspiré : « Pour triompher, le mal n’a besoin que de l’inaction des gens de bien » (Edmund Burke, homme politique chrétien du XVIIIe siècle) et « la responsabilité de chacun impose deux actes : vouloir savoir et oser dire ! » (Abbé Pierre). Ce « vouloir savoir » m’a conduit, grâce à des « frères » et des « sœurs » en humanité assoiffés de justice (des journalistes indépendants, des scientifiques, des anthropologues, des psychologues…), bien au-delà de mon petit périmètre douillet, dans le monde de la corruption systémique de notre système de Santé[4], dans le monde de la manipulation de masse en démocratie moderne, dans le monde des idéologies mondialistes qui sont à l’œuvre. Dans mon livre j’ai développé deux chapitres sur la découverte de ces mondes « mortifères » qui m’étaient jusqu’alors inconnus. Tout ce qui se passe actuellement sur l’inscription de l’IVG dans la constitution, sur l’euthanasie, sur les idéologies du genre, sur le transhumanisme s’inscrit désormais dans une autre religion, celle de l’Homme DIEU. Une religion dont tous les croyants devraient connaitre son « chef spirituel » depuis qu’Adam et Eve ont succombé à sa demande dans le jardin d’Eden (« vous serez comme des dieux » Gn 3, 5).
Je crois qu’il y a urgence à la conversion de notre monde (écoutons les messages de la Sainte-Vierge Marie depuis plus de 100 ans d’apparitions), à commencer par le réveil de tous les chrétiens (« Ce ne sont pas les dormeurs qui entreront dans le royaume de Dieu » – Père Varillon). Le message chrétien, basé sur la Parole de Dieu et la fraternité, me semble fondamental dans cette quête de Salut, avec l’aide de toutes les personnes de bonne volonté qui voudront bien embarquer dans l’aventure. Pour commencer, à l’instar d’Etienne de La Boétie dans son « Discours sur la servitude volontaire », je pense qu’il faut retrouver la force et le courage de dire NON à « l’oppresseur ». Pour les chrétiens, ce NON me paraît fondamental, pour refuser en premier lieu tout ce qui entrave la Loi de DIEU (la loi des hommes peut être une entrave). C’est exactement l’attitude que Jésus a eu toute sa vie devant ses détracteurs comme avec ses disciples, dans une fidélité absolue à son Père et un refus catégorique du mal. Ce NON, c’est aussi celui insatiable des apôtres dans les Actes. En définitive, il s’agit d’oser dire NON au « monde » et dire OUI à DIEU.
Ensuite, je propose de retrouver l’art de la « disputatio » pour nous « disputer » franchement en accueillant avec charité nos divergences d’opinions, sans tomber dans le désespoir, ni utiliser les armes du monde (violence, manipulation, chantage…). Comme le dit l’historien Marc Bloch dans l’Étrange Défaite : « Que chacun dise franchement ce qu’il a à dire et la vérité naîtra de nos sincères divergences ».
Enfin, je propose de prier sincèrement avec Saint-Pierre pour le pape François (en proie sans aucun doute à de nombreux combats) et avec Saint-Paul apôtre pour la conversion d’Emmanuel Macron, afin qu’il puisse un jour faire honneur à son prénom, non plus de manière dévoyée mais de façon ajustée : « Dieu est avec nous ! ».
[1] Un rapport du sénat sur la gestion de la crise H1N1, basé sur les travaux de l’APCE (Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe) déplore « un gaspillage de fonds publics important ainsi que des peurs injustifiées sur les risques de santé encourus par la population européenne en général » (p. 52 http://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-11.pdf)
[2] La taille du virus SARS-Cov2 mesure de 50 à 140 nm alors que les mailles des masques chirurgicaux mesurent 3 000nm de côté (3 μm) – soit un facteur 20, ce qui pourrait se comparer à vouloir se protéger des moustiques avec un grillage de jardin.
[3] Voir document « Comirnaty : EPAR – Risk management plan » sur le site de l’EMA (version du 15/12/2023 page 149)
[4] L’étude frauduleuse du Lancet, publiée le 22 mai 2020, ont conduit à l’arrêt des essais cliniques mondiaux de l’Hydroxychloroquine pour la COVID-19
Janot
Il y a bien longtemps, en cas d’épidémie, l’Eglise organisait des processions, des prières publiques … Pendant cette calamiteuse crise du Covid, nos évêques n’ont même pas protesté contre l’interdiction des messes ou les mesures vexatoires et stupides telle que la limitation à 30 personnes des participants à un office religieux, de façon indifférenciée pour la basilique Saint Pie X de Lourdes qui peut abriter jusqu’à 25.000 personnes ou pour une église de village qui n’admet guère plus que les 30 ! Et certains ont même été jusqu’à condamner et dénoncer les clercs qui passaient outre … Il est vrai que certains d’entre eux se sont déclarés pour macron et son programme satanique en 2022 – il y a donc une certaine cohérence !
LANASPRE
Si tous les directeurs d’EHPAD avaient de telles qualités …..Cela adoucirait considérablement le peu d’année de vie dont les résidents fragiles disposent quand ils intègrent de tels lieux!
zongadar
Comme le dit si bien Louis Fouché (approx.) : ” merci à l’état profond, grâce à lui; nous avons beaucoup travaillé, beaucoup appris”. Nous avons aussi découvert l’action palpable de Satan et de ses suppôts dans le monde…. Ces menteurs, diviseurs, ‘faucheurs’ ….nous rappellent bien, de fait, les vertus que l’on doit pratiquer plus que jamais. Haut les coeurs !
Adalbert
Soutien à ce valeureux responsable d’Ehpad, j’ai autrefois dirigé une maison de retraite et comprend son combat. Pour ce qui concerne l’Eglise, je viens d’apprendre que les évêques de France, à la suite de leurs instances européennes,appellent à “bien voter”, c’est à dire dans leur esprit à glisser dans l’urne un bulletin macroniste. Euthanasie, avortement, lois liberticides, tout cela importe peu à ces éminences. Dieu leur demandera des comptes
De La Taille
Merci pour votre travail, j’avais moi-même interpellé nos évêques durant cette crise par une lettre ouverte…
🔴 Ma lettre aux pasteurs et aux évêques de France👇
https://www.riposte-catholique.fr/archives/158569 #LibertéDeCulte
“Nous ne pouvons plus laisser le pouvoir temporel nous imposer son calendrier délirant, à la faveur d’une « crise sanitaire » dont on sait à quel point elle est instrumentalisée à des fins obscures et politiques.
Nous ne pouvons plus laisser le gouvernement ouvrir ou fermer nos églises à sa guise, régenter nos assemblées, et nous imposer subrepticement une liturgie conforme aux normes de l’hygiénisme ambiant…”
https://riposte-catholique.fr/archives/158569?lang=fr
MSophie
Dans un contexte où les autorités affichaient comme stratégie de limiter la circulation du virus et non de soigner (utilisation de moyens de contention dans les maisons de retraite, ordre de rester à domicile avec son Doliprane jusqu’à l’étouffement, tri des patients, interdiction de prescription de traitements précoces (deux poids deux mesures avec le Remdesivir et les injections), ), le décret Rivotril relevait de l’euthanasie puisque les autorités n’ont rien fait pour empêcher l’asphyxie des patients.
ExtraEcclesiamnullasalus
La vérité est bien plus révoltante, ignominieuse et criminelle que cela :
Le Dr. Patrick Pelloux, président de l’association des médecins urgentistes de France (AMUF) a admis que, pendant la crise du Covid19, tous ses confrères médecins avaient pris de la Chloroquine … qu’ils ont refusé d’administrer à leurs patients !
https://twitter.com/EiramasilP/status/1757831276776579283
Autrement dit, de la Chloroquine pour moi, médecin, et le cercueil pour toi, le non-médecin !
En participant activement à la propagande liberticide meurtrière du gouvernement, et en refusant de soigner leur patientèle, les médecins français, en général, se sont complètement déshonorés et décrédibilisés, ce dont tous les gourous de sectes ne manqueront pas de tirer profit, pour le plus grand malheur des Français.