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L'Eglise : Vie de l'Eglise

L’Eglise garantit le secret absolu

Suite au scandale de la NSA, le diocèse de Bayonne a trouvé une source d'inspiration pour sa communication :

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14 commentaires

  1. Excellent ! Dommage qu’il n’y ait pas plus de diocèses avec des initiatives missionnaires percutantes !

  2. La confession est une ressource extraordinaire pour celui qui se sent étouffer dans son péché mortel ! Avec son regret, la confession lui donne l’assurance d’avoir été pardonné par Dieu. C’est aussi psychologiquement miraculeux !
    On ne fera jamais connaître assez les bienfaits qui découlent de la confession ! Un grand merci aux prêtres qui permettent ces miracles !

  3. Sauf que chez les prêtres modernes : les confessions se font au milieu de tout le monde dans l’église. N’importe qui ayant une bonne oreille peut entendre ce que vous dites au prêtre.
    Je me suis confessé la première fois de ma vie à un prêtre moderniste, j’avoue que j’ai été franchement gêné de devoir le faire au milieu de l’église et non loin d’autres fidèles qui pouvait parfaitement entendre ce que je disait.
    Maintenant je suis les tradi et franchement, c’est comme si vous compariez la nuit et le JOUR.

  4. La NSA a-t-elle déjà équipé les confessionnaux de micros?

  5. Très fort. J’aurais plutôt dit “fidèles” que usagers … mais bon.

  6. Très fort !
    Selon l’historien Jean Delumeau, auteur d’une histoire de la confession (“L’aveu et le pardon”, formidable petit livre), la confession est l’une de ces inventions de génie qui ont permis à la civilisation occidentale de devenir aussi brillante, en “ayant pour irremplaçable fonction d’affiner les consciences et de faire progresser le sens des responsabilités”.
    Selon l’auteur, “l’intelligence de la modernité occidentale passe par l’histoire de la confession”.
    Plein d’esprit, belle trouvaille du diocèse de Bayonne.

  7. Le diocèse de Bayonne met ses pas dans ceux de l’entreprise de location de voitures Sixt, qui crée des publicités inspirées par l’actualité politique récente.
    http://bit.ly/1Jnpr7w
    Je suis choqué par cette adoption des codes de la communication publicitaire. Certes, c’est “efficace”. C’est bien le problème. On ne demande pas à l’Eglise d’être “efficace”.
    Sinon, pourquoi ne pas faire de la retape pour la messe à l’aide de demoiselles en tenue légère ? Ce serait très “efficace”, sans aucun doute.

  8. je trouve cela moyennement drôle et plutôt inexact puisqu’après les histoires de prêtres pédophiles qui ont souillé le sacerdoce, il me semblait que les confessions mentionnant ce type d’agissements devaient être signalés (ce que je trouve très bien mais ce qui est manifestement une exception au principe ici mis en avant), sauf erreur de ma part.

  9. Publicité mensongère?
    Il semble que ce soit le cas si j’en crois cet article de La Vie :
    “Les évêques de France ont réfléchi à la question dès 1998, et ont publié les analyses de la théologienne et médecin Marie-Jo Thiel sur le cas de conscience relatif au secret confessionnel. S’appuyant sur la réflexion théologique, celle-ci déclare dans ce document : “le secret confié, s’il est extrêmement exigeant, ne saurait couvrir des faits objectivement graves que la morale réprouve”.” lire plus dans http://www.lavie.fr/religion/catholicisme/un-pretre-peut-il-briser-le-secret-confessionnel-03-08-2011-18896_16.php

  10. yf
    La confession est un sacrement qui impose un secret absolu.
    Absolu signifie quelque chose.
    Si un seul confesseur dérogeait à cette règle, quel que soit l’aveu fait par le pénitent, il ne pourrait plus y avoir de sacrement de confession.
    Sans la confiance absolue qu’exige ce sacrement, il est impossible de se confesser.
    Les lois humaines n’ont rien à y voir.
    Tant pis pour les mous conciliaires et les évêques de France dont on peut parfois douter de la foi.
    Les authentiques canons de l’église ne sont pas négociables.
    C’est pourquoi je ne me confesse qu’envers des prêtres en qui j’ai une totale confiance. Pourtant je n’ai pas de crime horrible à me reprocher justifiant d’être signalé.
    Les mollasses de Vatican II sont exclues.
    Je ne crois pas à la validité de leur sacrement de confession.

  11. Le Secret de la confession n’est pas un secret professionnel, mais un Secret Sacramentel, il ne peut être brisé en aucun cas.
    Ce n’est pas un tribunal humain, mieux vaut mourir que trahir ce secret.

  12. Très bon argument.
    Mais le secret de la confession ne commence-t-il pas par l’anonymat au confessionnal? Ce qui n’est pas le cas sur la photo…

  13. Petit dialogue instructif, entendu sur une radio mal-pensante :un jeune homme devenu non-pratiquant rencontre son ancien curé de paroisse.
    Le Curé : « tu devrais aller te réconcilier avec le Seigneur ».
    Le jeune homme : « Ah bon ? J’savais même pas qu’on était fâchés ».
    Ceci pour dire que le retour au confessionnal exige parfois un choc, et non des arguments « commerciaux ».

  14. @mennucci
    Vous avez tort !
    Même si le prêtre n’est pas bon et qu’il vous abreuve de poncifs et de sornettes son absolution est valide.

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