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Culture de mort : Avortement

« L’envie de reconnecter avec son corps »

« L’envie de reconnecter avec son corps »

Plus de 50 ans après la loi Neuwirth légalisant l’usage de la pilule en décembre 1967, de nombreuses femmes se méfient de ce moyen de contraception. Non pas par respect de la vie mais en raison, bien souvent, de ses effets secondaires. Le 24 avril 1972 le décret d’application de la loi Neuwirth sur la contraception orale autorise la création des centres de planifications et d’éducation familiale (CPEF), permettant aux mineurs un accès libre, gratuit et anonyme à tous les types de contraceptifs.

Le Télégramme a lancé un appel à témoignages et les réponses ont été nombreuses. Les femmes redoutent une prise de poids, un état dépressif, une baisse de libido, des saignements en continu et, surtout, « l’envie de reconnecter avec mon corps ». « Il m’était devenu impossible de vivre au quotidien avec des douleurs dans les jambes et le bas du ventre, des maux de tête, des sautes d’humeur… J’ai essayé cinq pilules différentes ».

L’un des plus gros inconvénients des pilules, stérilets, implants, anneaux, etc… (outre les risques pour la santé), réside dans le fait que la femme a le sentiment de vivre « à côté d’elle-même », en trompant son corps (ce qui est vrai dès qu’elle absorbe ces hormones), et même amputée d’une partie profonde d’elle-même (ce qui est juste aussi, puisqu’elle est rendue artificiellement stérile : sa fécondité naturelle est empêchée). Elle en vient peu à peu à l’impression (plus ou moins consciente) d’être devenue un objet pour son compagnon, qui peut alors « assouvir » ses besoins sexuels « sans risque », et surtout sans prendre la peine de dialoguer en profondeur avec la femme sur les besoins et les désirs sexuels de chacun, ni sur les projets d’enfant éventuels.

Or, l’utilisation d’une méthode d’observation des signes de sa fécondité, comme la méthode Billings, va permettre à la femme de se connaître, de comprendre qui elle est vraiment et ainsi d’aider son conjoint à mieux la respecter. N’est-ce pas cela la véritable liberté sexuelle ?

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3 commentaires

  1. Il est très significatif que nos écolos-gauchistes et nos féministes ne se soient jamais élevés contre la dangerosité de ce moyen d’asservissement et d’intoxication des femmes : sans doute ont-ils été “convaincus” de se taire moyennant quelques largesses de Big Pharma à leur égard… Tartuffes !

  2. Discours officiel:
    La pilule, c’est comme les vaccins anti-Covid, il n’y a PAS d’effets secondaires. Prétendre le contraire, c’est être complotiste.

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