François Billot de Lochner, président de la Fondation de Service politique, déclare à Anne Le Pape dans Présent :
"A qui s’adresse 2017, le manifeste de la dernière chance ?
Le Manifeste 2017 s’adresse à toute la classe politique. Chaque élu et membre du gouvernement en ont reçu un exemplaire. Ce qui fait 40 000 envois, quand on compte les ministres, les députés, les sénateurs et surtout les élus locaux (maires, conseillers régionaux communaux et de départements). Mais il s’adresse également au grand public, à commencer par les deux millions de sympathisants que compte France Audace, afin de les tenir au courant de notre opération. Celle-ci consiste à demander aux candidats à la présidentielle de se prononcer sur chacune des 20 mesures que nous proposons. Chacun recevra une note sur 20, et les résultats seront communiqués dans la presse avec une couverture nationale.
Ce titre n’est-il pas un peu alarmiste ? Ou considérez-vous au contraire que nous avons de la chance… de disposer encore d’une dernière chance ?
Le temps n’est plus à la précaution oratoire. Notre pays est victime d’une déconstruction en règle depuis au moins 40 ans. Les résultats de ces politiques successives se traduisent par des catastrophes dans tous les domaines, que ce soit au niveau économique, social, moral ou culturel.
Pour ne prendre qu’un seul exemple, qui est le plus flagrant, j’évoquerai le problème (euphémisme) migratoire. Depuis des années, notre pays est contraint d’accueillir 400 000 immigrés, dont la moitié, ce qui est une aberration, légalement. Quel travail leur donner quand nous connaissons un tel chômage structurel ? Où les loger ? Sans compter l’incapacité d’assimiler ou d’intégrer cette population dans la communauté nationale. Résultat : communautarisation, conflits ethniques, islamisation de pans entiers du territoire, attentats… Il faut arrêter cette folie avant qu’il ne soit trop tard. Et ce trop tard arrive malheureusement trop vite. […]"