Communiqué de presse de la Marche pour la vie :
"Quel candidat me laissera vivre ? Tel est le cri lancé par cet enfant in utéro, toujours davantage menacé par l’avortement. Le dimanche 22 janvier prochain, le Collectif "En marche pour la vie !" qui regroupe une quinzaine d’associations françaises d’aide aux mères en détresse et de défense de la vie de la conception à la mort naturelle, organise à Paris sa 8e Marche pour la Vie. Le rendez-vous est donné à 14h30, place de la République.
La Marche pour la Vie est une marche ouverte à tous, quelles que soient les origines, les convictions philosophiques, politiques ou religieuses. S’imposant comme la plus grande marche annuelle d’Europe en faveur du respect de la vie, la marche pour la vie a réuni en 2011 plus de 30 000 personnes.
En cette année électorale, le Collectif "En marche pour la vie !" axe sa mobilisation sur 4 objectifs fondamentaux :
- Réveiller les consciences sur la réalité de l’avortement
L’enfant à naître n’est pas un amas de cellules mais un être humain sur lequel personne ne saurait avoir le droit de mort ! Il est temps que cesse cette négation de la vérité, la propagande anti-vie et le matraquage idéologique envers la jeunesse.
- Restaurer une maternité et une paternité libres et responsables
Restaurer la liberté de la femme enfermée seule dans la douleur de l’avortement et isolée de toute forme d’amour permettra de restaurer la responsabilité de l’homme, de rendre à chacun sa place dans une société respectueuse de la morale naturelle, de favoriser la construction et l’élaboration de la famille et de restaurer la dignité de toute personne humaine de sa conception à sa mort naturelle.
- Développer une politique familiale au service de la famille et de la Vie
Restaurer le respect de la vie, c’est restaurer la solidarité entre les citoyens et entre les générations. Respecter la dignité de toute personne humaine considérée individuellement, refonder la société sur sa structure naturelle qu’est la famille tout en retissant une solidarité entre les personnes, tel doit être l’axe de toute politique pro-vie aboutissant ou se substituant à la suppression de la légalisation de l’avortement.
- Faire cesser les atteintes gouvernementales à la vie humaine
37 ans après la loi sur l’avortement de 1975, les chiffres restent accablants ! Avec plus de 220 000 avortements par an, c’est 1 enfant sur 5 qui est ainsi supprimé dans le sein de sa mère. Face à ce constat, les pouvoirs publics s’obstinent, à travers moult matraquages étatiques et médiatiques, à présenter la contraception comme le remède au recours à l’avortement. C’est assez !
Il est temps que le voile de la normalité jeté sur les consciences par la loi de 1975 se déchire et laisse place à l’amour de la vie, de toute vie naissante. La paix de tous en dépend !"